Un ange en satin rouge. /!\Shonen Ai / Yaoi /!\

Un hotel dans la ville. Un jeune Midgarien en visite. Une rencontre en apparence fortuite et pourtant si calculée. Une soirée tendre et rapidement passionnée ... Une chambre louée en riant, main dans la main, des baisers échangés, des caresses, des vêtements qui s'échouaient au sol ...

Leur corps dansaient l'un contre l'autre, cheveux noirs corbeaux se mélangeant au pourpre des draps, mains qui se perdaient dans une chevelure flamboyante, glissaient le long d'un dos nu et fin, se crispaient, en réclamaient toujours plus ... Le corps de cet étudiant était parfait, en tout point. Il aimait les cicatrices qui ornaient son corps, trophée de nombreuses batailles remportées, il aimait l'odeur de son parfum mélangé à la sueur, il aimait le son de sa voix quand il gémissait, lui en demandait plus, il aimait son corps musclé et ses bras puissants qui le serraient contre lui. Ho que oui, il aimait cette union charnelle et sensuelle, cette rencontre dans l'ombre de deux êtres qui ne réclamaient qu'un coup d'un soir. Car ce n'était que ça. Un beau guerrier viril qui avait finalement fondu sous les attaques sinueuses du prédateur. Comme une araignée, il avait tissé sa toile autour de sa victime, la laissant s'entortiller à l'intérieur en se croyant en sécurité.

Ils s'écroulèrent l'un à côté de l'autre, halletants, couverts de sueur, un sourire ravi aux lèvres. Les deux hommes s'embrassèrent tendrement, et le plus agé s'allongea sans pudeur sur le jeune Midgarien aux cheveux corbeaux, qui admira le regard jaune de son partenaire. Ils ressemblaient à ceux d'un serpent ...

- Au fait, tu ne m'as toujours pas dis ton nom ...

- Gardons le mystère encore un peu, mon ange.

Un nouveau baiser échangé, puis il s'allongea aux côtés du jeune étudiant, rabattant les draps sur leur corps nus. Ils se souhaitèrent bonne nuit, et s'endormirent l'un contre l'autre.

Enfin, l'un s'endormit. L'autre attendit patiemment que la respiration de sa proie devienne calme et posée, et il alluma une bougie à l'aide d'une flammèche, qui diffusa aussitôt une douce lumière tamisée dans la pièce. Il se leva prudemment, silencieusement, et se rendit dans la somptueuse salle de bain. Ce gamin était cousut d'or, il comprenait mieux pourquoi on lui avait demandé de s'en charger ... Et Dieu, qu'il était beau ! Il remercierait les voleurs pour lui avoir confié un trésor pareil.

Il se doucha rapidement, nettoyant toute trace de sa relation torride avant de se rhabiller. Il coiffa ses longs cheveux flamboyants, replaça ses lunettes, prit même le temps de tracer une ligne noire et fine autour de ses yeux, nettoya de fond en comble la pièce, et alla rejoindre le jeune homme. Il le regarda dormir, caressant la lame froide de son Zanpakutho, qui respectait le silence religieux de son lié. Il y avait toujours ce petit rituel, il contemplait sa proie, lui immaginait la plus belle mort, et passait à l'acte. Il fini par se décider, et un sourire carnassier orna son visage de poupée.

D'un coup puissant, il assoma le jeune home, et enroula son visage dans les draps de satin, l'étouffant doucement. Il n'allait pas prendre le risque de gâcher le visage d'ange de ce garçon par une expression de douleur et de peur, au plus merveilleux moment de sa vie tout de même ! Après plusieurs minutes, il colla son oreille contre le torse de l'homme et, n'entendant plus son coeur battre, retira les draps. Il allongea le corps, lui plaça les bras le long du corps, et traça une longue entaille sanguinolante sur le ventre. Pas trop profondément, il ne voulait pas que ses entrailles de vident sur le lit. Il prit son temps, laissa sa langue glisser sur la plaie, l'effleurant, avant de plonger ses doigts à l'intérieur et de l'éventrer d'un coup sec. Le sang gicla mais ne le toucha pas. Il en avait trop l'habitude. Il vida ce corps de tout ce qui n'était pas commestible, les instestins, les poumons, arracha les côtes d'où pendaient de longs fils gluants, et plongea sa main dans le trou béant de la poitrine, ressortant le coeur fumant du garçon. Il le laissa de côté et découpa un large morceau de chair, qu'il fit rôtir dans un brasier qu'il avait créé. Les assiettes de leur repas lui servirent, et il récolta un grand verre de sang sur sa victime. En dévorant sa chair, il prenait ses forces, son courage ... Ce gamin devenait sien.

Une fois son repas terminé, il se servit des draps pour cacher le trou de la poitrine et sa nudité, avant de poser ses mains en position de mort, plaçant son coeur dans ces dernières. Vidant les vêtements de ce dernier, il récolta ses papiers, son argent, et tout ce que les voleurs lui avaient demandés, puis il se dirigea vers la fenêtre, prêt à prendre la fuite. Se retournant une dernière fois, il admira le cadavre blème du garçon, les draps faisaient comme des ailes autour de son corps svelte ...

- L'ange immaculé s'est couvert d'un satin flamboyant, regagnant doucement son Paradis dans l'étreinte d'un amant ... Dors bien, mon bel amour.

Il sauta par la fenêtre, envoyant un dernier baiser en direction de son amant, et attérit en douceur sur un toit, courant rapidement sur ce dernier avant de rejoindre les rues. Il reprit un rythme normal, et leva les yeux vers le ciel étoilé en souriant, dévoilant ses dents taillées en pointes. Il sortit une petite glace de sa poche, vérifiant qu'aucune tâche de sang ne venait salir son apparence sublime, replaça son long manteau rouge et ses lunettes, mais percuta par inadvertance quelqu'un. Il rangea d'un geste son outil, et se baissa vers la personne qu'il avait percuté.

- Quel incapable je fais, je ne regardais pas où je mettais les pieds !

Quel imprudence pour une jeune fille tel que Linoa de se promener dans les rue de Balamb en plaine nuit .... Il était peut être 23 heures ? Ou plus. Elle ne savait pas exactement. En tant de guerre, les gens hésité à sortir le jour, mais la nuit, s'était pire ! Mais Linoa n'avait pas froid aux yeux. Cetain diront que c'est du courage mais beaucoup s'accorderont à dire que c'est de l'inssousience. Linssoucience de la jeunesse ...

La jeune femme revanit d'un agréable fête d'anniversaire, beaucoup de ses amis avait choisit, soit le taxi, soit de passer la nuit sur palce, mais elle ne voulait pas s'imporser et n'avait pas assé pour le taxi. Oui, elle était totalement inconciente ... Mais elle avait une confiance aveugle aux gens qui l'entourait et en la protection que lui approté Angel, sa fièle amie canine.
Linoa saluait une dernière fois ses amie d'un signe de la main qui lui ordonné de se dépécher et de faire attention. Elle était persuadé qu'elle ne risquait rien, l'école n'était pas loin et elle était avec Angel ! Et puis ... Qui lui voudrait du mal ?

Tel le petit chaperont rouge s'enfonçant inconciemment dans la forêt, Linoa marchait sereinement tout droit vers la gueul du loup ...

Elle passa devant un hotel chic, où était regroupé des policier et des pompiers sireine allumé. Elle était de l'autre côté du trotoire et passa son regard sur la scène ... Peut être qu'un grand père avait fait un malaise ?
Elle continua de marché, enprintant quelque racourcit par des rue peu rassurante. Soudain, Angel se mit à grogner, les oreille couché sur la tête. Linoa continuait de marcher alors que Angel s'était arrêté, elle la regarda d'un air interrogateur.

-Et bien Angel ? Qu'es-ce qui ...

La jeune fille fut coupé dans sa phrase et percuta quelque chose. Elle retomba en arrière, puis Angel courut aussitôt devant elle en aboyant. Linoa leva les yeux vers un ... homme ? Femme ? une personne ... Angel aboya, Linoa se redressa, posa un genoux et un pied a terre en attirant Angel vers elle.

-Ho excusez moi je n'ai pas fait attention. Angel était agité et aboyait, Linoa la ramena fermement contre elle. Angel qu'est-ce que tu as ? Calme toi voyons il y a des gens qui dorme !

Les coreilles de la chienne était coucher sur son crane et ses babines s'ouvraient sur ses crocs. La cheinne se calma mais poussait quelque grgnement. Un geste vers sa maitresse,e t l'homme aurait droit à une tentative de morsure.

-Excusez moi, elle est agité ... Elle n'est pourtant pas méchante d'habitude. Linoa esquissa un souire amicale puis se releva.

C'était donc une femme. Où plutôt une jeune fille, insousciante pour trainer dans les rues à une heure pareille, et qui respirait la fraicheur et la joie de vivre. Elle était drôlement mignone ... Si seulement il n'y avait pas ce maudit chien qui lui hurlait dans les oreilles. Son air habituel mélangeant sourcils froncés d'un air peiné et sourire ravi s'incrustant sur son visage, tandis que son regard glacial rencontrait celui du chien, qui râta un aboiement, avant de reprendre. Il n'avait jamais mangé de chien.

** Hihi ... Je crains que le goût ne nous paraisse trop fade. **

** Et nous avons assez mangé pour ce soir, n'est ce pas mon cher ? **

** Oui, nous avons assez mangé ... **

Il entendait au loin les sirènes des pompiers et des gendarmes, il voyait des lumières s'allumer, et même une bande de jeunes insousciants qui se dirigeaient vers les lieux du crime. Vers le lieu de l'apogée de son art. On le traiterait de fou, de meurtrier, mais lui seul savait redonner la beauté perdu d'un vivant au moment de mourir. Lui seul savait embellir un visage tordu par la douleur et la terreur ... Oui, lui, et lui seul.

La jeune femme se releva, et il retrouva aussitôt son sourire à la limite de l'effrayant. Pourtant, la candide jeune fille lui semblait en tout point confiante. Un bel oiseau qui a cru pouvoir chanter au clair de la lune, sans doûte.

- Je comprend cette noble bête, après tout elle ne fait que protéger sa maîtresse des dangers que peuvent cacher les sombres ruelles.

D'ailleurs, il faisait bien attention à ne pas laisser ses mains trainer près de la gueule de cette bête. Une vilaine cicatrice sur son corps parfait serait extrèmement déplaisant. Des personnes revinrent dans leur direction, une jeune femme était en larmes, et un homme la soutenait. Elle était tellement choqué qu'elle hurlait presque.

- Je l'ai vu ! Il ... Le drap ... Il est tombé ! On a éventré ce typé putain ! Il... Son ventre ... Il y avait plus rien dedant ! Plus rien !!!

Ho que si, il y avait encore des milliards de trésor, mais cette impie était trop stupide pour dénicher toutes les ressources du corps humain. Les muscles, la graisse, les os, la chair ... Tant de choses dont il n'avait pas pu profiter.

- Et bien... Les nuits sont agitées.

Linoa tentait désespéremment de rassurer Angel avec des caresse. Cet paraissait tout à fait sympatique ! Son language était correcte et noble et son sourire ne cachait rien ... En fait si son sourire n'annoncé rien de très rassurant mais Linoa ne s'inquiétait pas. Elle détestait les gens agressifs et mal poli, et cette ne faisait pas du tout parti de cette catégorie de personne.

Linoa se retourna en entendant des cris étouffé par des pleurs. Une femme hurlait sa terreur et son dégout, Linoa equarquilla de grand yeux étonnés ... S'était donc ça ... Mais qui avait bien pu faire une chose pareil ? Un véritable monstre. Linoa eut beaucoup de mal à croire ce qu'elle entendait. Elle avait toujours pensé que chaque individu renfermait toujours un bon fond ... Mais la personne qui avait fait ça ... Ce n'était pas possible ...Ce ne pouvait pas être un humain.

Linoa se tourna de nouveau vers l'homme qui était très grand et carré. Ses vêtements et ses cheuveux rouges tranché avec le décore sombre dans lequel ils étaient plongé. Angel ne lachait pas l'homme des yeux, elle ne grognait plus mais ses oreilles était toujours couché sur son crane. Linoa adressa une caresse à sa chienne puis lui grata l'arrière des oreilles. Ceci calma encore un peu plus l'annimal qui s'assied docilement aux côté de sa maitresse, fixant tel un prédateur féroce l'homme aux cheveux ardents.

-En effet ...

Linoa eut une sueur froide, elle venait de se faire une belle désillusion ... Les rues nocturne de Balamb n'était pas si sûr ... Elle adressa un sourire doux et amical à l'homme et lui fit un signe de tête.

-Et bien bonne fin de soiré. Elle ne savait toujours pas si elle devait l'appeller Monsieur ou madame ... Son visage était très féminin, ses vêtements portait à confusion ainsi que sa coiffure, mais son torce semblait être celui d'un homme. Faite attention à vous. Dit-elle en passant à côté de l'homme, reprenant la direction de l'école accompagné d'Angel ...

La petite était choquée par ce que la jeune fille hurlait ... Les hurlements de cette truie lui donnaient mal à la tête d'ailleurs. Il détestait ces poltrons qui hurlaient sans aucune raison apparente. Elle n'avait vu qu'un malheureux cadavre, elle en verrait d'autres dans sa vie, qu'elle arrête un peu de chouiner !

La chienne se calma enfin. Oui, chienne, car il était assez observateur pour remarquer que sa maîtresse l'avait qualifié d'un pronom personnel féminin, un peu avant. La somptueuse jeune femme finit par lui souhaiter bonne soirée, et s'en alla sans plus de commodités, la peur venant étouffer son regard pétillant. Quel dommage, gâcher un si joli regard ... Il s'élança tranquillement après la demoiselle, arrivant en coup de vent à ses côtés en se penchant vers elle.

- Après ce que nous venons d'entendre, je ne pense pas que laisser une jeune femme aussi pétillante que vous se promener seule en pleine nuit.

Elle s'immobilisa, apparement surprise, la chienne lâchant un grondement d'avertissement qu'il fit taire d'un regard glacial. Il n'aimait pas les chiens. Gueulards à tout bout de champ, il n'y avait rien de plus agaçant. Il tendit sa paume à la jeune femme, se courbant légèrement en guise de révérance, l'invitant à lui prendre la main.

- Permettez à mon coeur de se sentir soulagé en vous racompagnant. Qui sait ce que cachent vraiment ces ruelles ?

Elle hésitait, il en était conscient. Qu'elle lui résiste un peu, la chasse n'en serait que plus jouissive et longue. Si elle prenait sa main, elle lui aurait permis de tisser son premier fil. Il jubilait, et Red Sin également. Le temps semblait comme suspendu autour d'eux, l'une hésitante, l'autre attendant patiemment la réponse de celle qui serait peut être son festin ...

** Prend sa main ... Prend sa main ... Prend sa main, prend sa main, prend sa main, prend sa main !!! **

** Du calme mon ami, du calme. Ne brusquons pas cette douce jeune fleur. **

Angel commençait à se calmer au fire et à mesur qu'elle s'éloigné du jeune homme, seulement, l'annimal redevint vite sur les nerfs, montrant les croc. L'homme aux cheveux vermillon la ratrapa se penchant de toute sa auteur du la petit Linoa ... Car elle se sentait très petit en cette instant.
Il lui proposa poliment de la racompagner. Elle hésita un instant, elle posa son regard sur Angel qui retenait ses grognements puis posa de nouveau son regard sur l'homme qui lui tendait la main.
Finalement, un sourire amical et soulagé apparut sur le visage angélique de la jeune femme, puis elle serra la mains de l'homme fort courtois.

-Merci beaucoup, c'est vraiment très aimable de votre par.

Angel ne sembla pas aprécié ce contacte et poussa un aboiment féroce. Linoa retira sa mains par surprise et ordonna une nouvelle fois à sa son amie canine de se taire, sa voix restant douce malgré son autorité. Ils reprirent la marche, Linoa se sentait soulagé ... Elle suportait mal la solitude, c'est pourquoi elle ne quittait jamais Angel, et dans ces rues sombre et vide, elle préféré être accompagné, même d'un parfait inconnu plutôt que de rester seul.

-J'avoue que je suis très soulagé que vous m'accompagnez ! Je pense que toute seul, j'aurais fini le trajet en courant.

Confit elle avec un sourire avant qu'un rire joyeux et léger ne s'échape de sa gorge.

Leur main se trouvèrent. Il la serra doucement, un sourire tendre aux lèvres, tandis qu'une voix explosait de joie en lui.

** Nous l'avons Shin ! Elle est à nous ! **

** Comment la dégusterons-nous ? **

** Goûtons ses poumons, faisons rôtir son foie, cuisons son coeur ! Apprenons les mots 'douleur' et 'désespoir' à cette princesse ! **

** Ho, quelle merveilleuse idée mon ami ! Mais souhaites-tu vraiment éteindre un si joli sourire ? **

** Nous lui en dessinerons un encore plus beau, à travers ses chairs ... **

Il se retenait à grand peine d'éclater de rire. La toile était tissée, le premier fil venait de s'entortiller autour de la frêle main de cette douce jeune fille ! Elle ne pourrait plus lui échapper maintenant. Il lui donnerait la plus belle mort qu'il puisse imaginer. Hô oui, il y travaillerait longuement, il repenserait chacune de ses idées, il chercherait à rendre son oeuvre toujours plus belle ... Toujours plus parfaite. La perfection d'un mort qui n'a plus rien à cacher.

La chienne poussa un aboiement violent, obligeant la jeune femme à retirer rapidement sa main. Elle ordonna aussitôt à son animal de se taire, ce que son canidé fit avec une certaine réserve. Il fit comme si de rien l'était, et accompagna la jeune femme aux travers des ruelles sombres. Il y avait peu de monde à cette heure, et tous préféraient soit rentrer, soit aller admirer le spectacle de l'hôtel. On pouvait le traîter de fou, de meurtrier, mais combien se délectaient de lire des histoires d'horreur ? Combien d'entre eux étaient fascinés par les méthodes des assassins ? Combien d'entre eux riaient à gorge déployé lorsqu'un homme hurlait de douleur et de peur dans un film ?

L'être humain était vicieux. Tout le monde pouvait tuer, aussi facilement que l'on pouvait respirer. La seule différence, c'était de le vouloir. Et lui l'avait voulu. Il s'était ouvert les portes d'un Paradis rouge et sanguinolant. Un vice somptueux et violent. La voix douce de la jeune fille raisonna de nouveau, le tirant de sa rêverie.

- Et je vous avoue que je suis soulagé de vous accompagner ! Les promenades nocturnes sont bien plus agréables en charmante compagnie. Vous vivez loin d'ici ?

La jeune inconciente déhambulait paisiblement aux côté du grand méchant loup. la sociabilité de Linoa qui état sa plus grande qualité était aussi son plus grand et plus dangereux défaut ... Elle faisait rapidement confiance aux gens en échange d'un sourire, ou de paroles douce. Oui ... la plus folle entre le bourreau canibal pasionné de meurtre et elle, s'était bien elle ...

Au loin, on povuait apercevoir les sommet de l'acole militaire de Balamb, Linoa la poita du doigt en souriant.

-Je suis au pensionna de l'école de Balamb. Elle laissa son bras redescendre le lon de son petit corps frêle puis regarda son vis à vis. Et vous ? Vous êtes de Balamb ?

Elle douté que l'homme soit un étudiant de Balamb, d'une parce qu'elle ne l'avait jamais vu ( et un homme de ce charisme ne se soupait pas et ne s'oubliait pas ) et secondo parce qu'il n'avait tout simplement pas l'air d'un étudiant. La jeune se rendit ensuite compte qu'elle ne s'était toujours pas présenté.

-Ho au fait, je m'appelle Linoa. Et vous ?

Ils marchaient paisiblement, mais à un ruthme soutenu. Shin essayait de ne pas marcher trop vite, ce qui aurait vraisemblablement traduit son empressement ... Mais son empressement pour quoi ? Pour la tuer ? Non, pas ce soir. L'heure des loups étaient terminée, il laissait désormais la place aux charognards. La faucheuse était passé.

** Shinigami ayant accomplit son oeuvre ... Hihihi ... **

Il sourit devant cette remarque de son Zanpakutho. Oui, il était bien un Dieu de la mort. Un simple être humain ne pouvait se vanter de redonner une telle beauté à un cadavre. C'était sa raison d'être, son art de vivre ... Son destin. La jeune brune lui répondit ensuite, désignant le sommet de l'académie de Balamb. Un éclair de déception passa. Elle n'avait pas sa propre maison où son propre appartement ... Quel dommage, il lui serait vraiment plus difficile de s'occuper d'elle. Il devrait la conduire dans un autre lieu.

- Moi ? Ho non, je ne suis qu'un simple Midgarien, appellé ici pour affaires.

Le dépouillement du corps du garçon était un travail comme un autre, et le voler était, en soit, son contrat avec les voleurs de Midgard. Donc oui, il pouvait aisément affirmer qu'il était ici pour ses affaires personnels. Il jeta un regard en biais à la jeune femme, visiblement détendue d'être accompagnée. Savait-elle simplement qu'elle se trouvait avec un dangereux meurtrier ? Certains tueurs lui racontaient que, parfois, il leur arrivait de tomber sur une proie qui savait reconnaître leur nature profonde. Ces personnes ne le savaient pas non, ils le devinaient. Comme s'ils perçevaient la noirceur de leur âme. Shin n'avait jamais cru à tout cela, mais restait tout de même sur ses gardes. Peut être qu'un jour, il trouverait quelqu'un comme cela.

La jeune femme dit s'appeller Linoa. Il sourit, ravi qu'elle se confit un peu. C'était toujours bon signe quand sa proie se présentait avant lui, cela signifiait qu'elle commençait à placer sa confiance en lui.

- Ce nom vous va à ravir ... Ho mais c'est exact, je n'ai toujours pas eus la décence de me présenter. Je me fais appeller Shin.

Ils marchèrent encore un moment, et petit à petit, il tenta d'en apprendre un peu plus sur sa victime.

- Vos parents doivent habiter bien loin pour vous laisser vivre dans l'académie.

Il "se faisait appeler Shin", cela devait supposé que ce n'était aps son vrais nom ... Linoa ne posa pas plus de question, il il lui avait donné un pseudonyme, c'est qu'il devait dévoiler son nom que très rarement et même si elle lui demandait il ne lui dirait surement pas.
Angel toisait l'homme d'un regard en bié tout à en marchant. La fidèle bête semblait prète à bondir sur l'inconnu au moindre faut pas. Linoa lui adressait quelque caresse pour la rassurer mais rien n'y fit.
L'homme venait de Midgard et était la pour affaire ... Cela cocernait peut être la guerre ?

**Peut être un diplomate qui est venu pour négocier ...?**pensa-t-elle bien naïvement.

Linoa sourit en réfléchissant à la question de l'homme. C'était une question qu'elle se posait souvant ... Ses parents étaient-ils en fait tout près ? Leur arrvaient-ils de penser à elle comme elle pense à eux ?

-Hum ... Et bien en fait je ne sais pas. Je n'ai jamais connu mes parents biologique et j'ai grandit dans un orphelinat avant d'arrivé à l'école millitaire de Balamb ... En fait, je m'en serait bien passé mais ... En découvrant mon élément et mon Zanpakutho j'ai préféré apprendre à les contrôler.

Linoa leva les yeux au ciel pour contempler les étoiles puis son inquiétude naturelle pour les autres vint lui faire prendre la aproles.

-Mais si vous êtes de Midgard ... Et que vous êtes dehors à cette heur-ci ... Cela veut dire que ... Elle chercha ses mot marquand une pause. Vous avez quelque par où dormir ? Parce que à cette heur vous n'allez pas trouver d'hotel et ce n'est pas vraiment le bon moment pour prendre la route vers Midgard.

Ho, la méchante gaffe, elle était orpheline ... Il n'avait pas de chances avec ses proies, le plus souvent il avait le droit à des "je vis avec ma mère / mon père", "ils n'existent plus pour moi" où "je ne les ai jamais connu". Et là, c'était la dernière option. Les hommes commençaient à devenir franchement prévisibles ... Tomberait-il un jour sur une proie qui lui dise "j'habite chez mes parents !" avec un air gêné ? Quoi que, il exagérait un peu la chose, il en avait déjà tué, des fils et filles à papa-maman. Et il avait été fièrement récompensé pour ses services.

-Je vois ... Je comprend qu'une femme aussi douce puisse détester d'idée même de se battre. Mais c'est dans l'ordre des choses vous savez ...

** On meurt tous un jour. **

** Non, pas maintenant. Je pourrai l'effrayer. **

Elle s'enquit ensuite de la modeste personne du meurtrier, qui la regarda, visiblement surpris. C'était bien la première fois qu'on lui demandait cela ! D'ordinaire, on ne lui demandait jamais s'il avait un toit. Il ne laissait jamais le temps à ses victimes de le demander, en même temps ... Mais cela l'étonna. Il n'y avait bien que Red Sin qui se préoccupait de la santée de son ami. La surprise laissa place à un sourire doux et rassurant, longuement travaillé pour paraître plus vrai que nature.

- Ne craignez rien, j'ai de bons amis qui m'offrent leur hospitalité. Je ne serai certainement pas dehors sinon !

Jouant son rôle à la perfection, il laissa un rire léger raisonner, qui aurait pu paraître tout à fait naturel.

Ce battre ... Dans l'ordre des choses ? Après tout, les hommes se battaient depuis la nuit des temps et les annimaux aussi ... Mais la jeune femme trouvait ça profondemment inutile. Si tout le monde faisait comme les fourmis, il n'y aurait pas de guerre ni de monais ! Non ps les fourmis ... Linoa avait toujours vu ce peuple de petit insecte comme une parfaite illustration de la dictarure communiste ...

L'homme avait bien un toit pour dormir, Linoa fut rasuré, Angel aussi ... La brave chienne savait que sa maitresse aurait était assez folle pour invité cet inconnu dans sa chambre ...

-Ho vous me rassurez alors !

Angel eternua comme si elle voulais montrer son agacement puis son regard féroce croisa celui de l'homme. Angel avait la faculté d'un odora surdéveloppé et d'un sixième sens dont seul les chein avait le secret ... Cet homme enpestait le sang ... Mais pourquoi sa maitresse refusait-elle de l'écouter ?

La ruelle déboucha sur une grande place dégager, qui offrait une vu époustouflante sur l'école et son entré élcairé de projecteur. Avec le ciel étoilé et le croissant de lune qui écorait le ciel, cela donné une impression de toute puissance à l'école.

-En tout cas c'est vraiment très gentil à vous de me racompagner, merci encore.

Linoa senti Angel lui donner un coup de tête puyis elle s'arrêta. Linoa se pencha vers Angel pour la cresser et la rassuré par un bisous sur le museau, tournant dos à l'homme. Ses cheveux corbeau furent légèrement soufflé par le vent, laissant dévourir les ailes d'ange dessiner dans le dos de son vêtement. Elle adressait un sourire rassurant à Angel, quand cette dernière se mit à grogner et a aboyé en regarda l'homme qui fixait Linoa avec insistance. Linoa se retourna vers Shin, qui avait un sourire aux lèvres, elle adressa und ernière caresse à Angel en posa son doigt sur sa bouche puis se redressa.

-Je suis désolée pour Angel ... Je comprend pas ce qu'elle a ... Elle est si calme d'habitude, c'est peut être la nuit et les sireines des policier qui l'on ennervé ...

Il la rassurait... Pauvre petite, si seulement elle savait ! Elle serait certainement horrifiée d'apprendre la vérité sur lui. Qu'il aimait jouer avec ces étudiants insouciants, qui sympatisaient avec le premier inconnu croisé au détour d'une ruelle ! La chienne éternua, visiblement, elle avait sentit quelque chose qui lui déplaisait ... Shin la fixa en souriant, arrachant un grondement à l'animal.

** Qu'a sentit cette chose ? **

** Le sang, probablement. Ces animaux ont un odorat hors du commun. **

** Hooo ? Nous voila en bien mauvaise posture ! Montrons-nous prudents. **

** Oui, mais ne renonçons pas au jeu. **

L'entrée de la grandiose académie de Balamb leur fut enfin en vue, ce qui signifiait que sa jeune proie allait bientôt le quitter. Quel dommage, mais il devait pas se montrer impatient. Il serait ramener à travailler à Balamb un jour, et sa mission comporterait un petit bonus qu'il négocierait avec son patron. En parlant de patron ... Il devrait bientôt se remettre en route, et rentrer dans son petit chez-lui. Il ressentait déjà un petit pincement au coeur, il aimait son cocon chalereux.

- Je vous en pris, c'est la moindre des choses.

Elle s'arrêta soudainement, lui tournant le dos, et une brise légère vint dévoiler deux magnifiques ailes d'ange décorant le haut de la jeunen femme. Des ailes... Des ailes immaculées... Le blanc qui tranchait si sublimement bien avec le rouge sang, le choc de la pureté et de la passion. Un frisson le traversa, tandis que l'impatience le gagnait. Il écouta à peine les dires de la jeune femme, reprenant difficilement un air naturel, et elle s'excusa pour le comportement de sa chienne.

- Ne vous en faites pas, après tout je suis une parfaite inconnue.

Il commençait à parler de lui au féminin... Comme d'habitude. C'était un fait indépendant de sa volonté, qui se sentait aussi bien en temps qu'homme qu'en temps que femme, ce qui expliquait la longueur soyeuse de ses cheveux et ses vêtements... Androgyne ? Une femme pouvait aussi bien porter sa tenue qu'un homme. Son physique en trompait plus d'un, et sa voix suave n'aidait en rien. Il n'avait pas un timbre spécialement grave, pour couronner le tout.

- Ces ailes dans votre dos... Ont-elles une signification particulière ?

Sa curiosité avait été piquée au vif, il voulait en apprendre plus sur ces symboles, afin d'immaginer sa mort.

Linoa tiqua sur les paroles de l'homme. "Une parfaite inconnue" ? C'était donc une femme ? Pourtant il parlait au masculin tout à l'heur et ... Elle avait beau regarder, elle ne voyait pas de poitrine même camoufflé. Du coup elle était perdu ... Elle devait lui parler au masculin ou au féminin ? Mieu vallait qu'elle tourne ces phrase de façon à ne pas employer d'adjectif féminin ou masculin ...
L'habitulle question revint à ses oreilles. C'est dingue ça, les gens qui avait un blonson avec le signe nike derrière on ne leur demandait pas si cela signifiait quelque chose de particulié ! ais en même temps, les gens avaient raison de lui poser la question puisqu'en effet cela signifier beaucoup ... Même si Linoa n'en connaisait pas la motiier de la signifiquation.

-Hum, et bien en fait j'ai pas même marque dans mon dos à même la peaux. Les gensd e l'orphelina on toujours trouvé ça étrange mais appremment c'est juste une drôle de tache de naissance ... Ils m'appellait toujours leur Anges Gardiens ou s'amusé à dire qu'en fait j'étais un ange envoyé du ciel ... C'est débile hein ? Mais bon, quand j'ai quitté l'orphelina la tutrice qui s'occupait de moi l'a dessiner des ailes d'anges dans le dos de tous mes vêtements.

Elle aurait bien aimé être un ange dans le fond ... Pouvoir voller a travers le continent, découvrir ce qu'il se cache au delà de la forêt de Balamb et du désert de Midgard, pourvoir veiller sur tout ses proches et aussi ... Voller. Le hazard fit qu'elle maîtrisait le vent, cela lui permettait de réaliser son rêve de voller pendant quelques seconde. Après quelques petites minute de marche, elle arriva enfin au porte de l'école millitaire. Elle se tourna vers son aimable acompgnateur(trice) avec un sourire léger et angélique aux lèvres.

-Voila je suis arrivé. Merci encore beaucoup à vous de m'avoir racompagner. Si jamais un jours vous avez besoin de quoi ce soit n'hésitez pas ! Vous pourez me trouver le plus souvant dans le parc de l'école. Elle commença à partir en faisant un fit joyeux de la main à l'homme( femme ?) aux cheveux ardent. Bye bye ! Rentrez bien !