Je tombe encore une fois. La chute est à la fois rapide et interminable, je sens le précipice aspirer mon corps vers le bas et le sens viens fouetter mas peau fine. Mes yeux pleures, j'essaie désespérément de me rattraper à une barre invisible et impalpable ... Mais je chute toujours. Ma course n'en fini pas, et pourtant je voix bientôt ce qui m'attend. La ville illuminée s'étend sous moi, et j'essaie de déduire mon point de chute. Ce devrait être en pleins milieu du viaduc de Balamb ... Ce pont géant m'avais toujours impressionnée, j'ai toujours voulu le voir mais, depuis ce cauchemar je crois que je n'en ais plus envie.
Je hurle, gesticule dans tous les sens comme si j'allais réussir à voler ou à me rattraper à un nuage. J’essayais alors d'imaginer la douleur que m'infligerais le terminus de cette course effrainé ... Je ne voulais pas.
-Au secoure !Soudain, atterrissage. Je n'étais pourtant pas encore arrivé au sol, se senti mon corps rebondir sur une paroi flexible pour s'immobiliser après quelque vrombissement. J'ouvre doucement les yeux ... Je voix toujours la ville de haut. Un nuage aurait-il finalement arrêter ma chute mortelle ?
Je regarde tout autour de moi puis essaie de me redresser. Bloquée. Non ... Collée. Mes membres était collée à quelque chose. Se parvient tout de même à redresser la tête, je sens mes cheveux tirer, eux aussi était collé à une sorte de pâte semblable a du chewing-gum. Je regarde à ma gauche et aperçois du file blanc tissé de façon géométrique et élaboré. A droite maintenant ... Effroi. Une monstruosité me fait face. Une immense arachnide brune me fait face, elle est beaucoup plus grosse que moi et un de ses crochés devait bien faire la taille de mon bras. Je me crispe et hurle en essayant de me débattre. Mes bras, mes jambes, mes cheveux ... J'étais entièrement englué dans cette toiles géante et solide. Je sens comme des chatouillis dans son dos et quelque chose essaie de gigoté ... Traveling arrière pour découvrir une toile tissé entre deux nuages, où est posé une araignée géante face à sa proie : Une petite fille aux ailes de papillons bleus. Je voix clairement que cette petite fille blonde, c'est moi. J'essaie encore et toujours de gigoter en cherchant à comprendre comment battre des ailes. Rien à faire, je suis totalement paralysée. J'essaie de hurler mais je n'y parvient plus. Des larmes déferle mes joues alors que la peur me saisit tout entière. Je voulais mon père et ma mère ... J'essayai donc de les appeler mais aucun son ne sorti. Papa, maman ! J'ai peur ....
Je gigote toujours, le monstre est à présent juste en face de moi, je suis à porté de mandibules. Elle les claque juste devant moi pour me faire comprendre ce qui va m'arriver avant de me saisir méticuleusement entre ses pattes poilus. Elle me crache une gerbe de pâte blanchâtre et commence a faire de moi une véritable momie. Je reste toujours muettes, et je ne peu même plus bouger.
Je suis totalement ligoté, je ressemble a une véritable chrysalide. Le monstre me rapproche maintenant d'elle et de ses mandibule ... Elle va les planter dans mon cou pour manger ma tête ! Papa, maman !!
-Papa, maman !!!!Je parvint enfin à décoller mes paupière et me redresse. Je vois déjà la lumière filtrer sous la porte de ma chambre et ma douce maman vient me serrer dans ses bras en m'embrassant sur le front.
-Qu'est-ce qui t’arrive ma chérie ? Tu as fais un cauchemar ?-Oui ! Une grosse araignée voulais me manger !!-C'est fini, ne t'en fais pas. Aucune grosse vilaine bête ne viendra te manger.-Tu es sûr ? Elle est peut être caché !-Tu veux qu'on vérifie ?-Oui !!-Bien, bien, je vais chercher papa ...Ma jolie maman se leva et disparut un cours instant dans le couloir en appelant mon papa. Même qu'il s’appelle Vashyron, et même que c'est le plus beau et le plus fort.. Il ne tarda pas a apparaitre, les yeux mi-fermé, ses cheveux mi-long, blond en bataille et en caleçon.
-Moai, moai ... suis là ... qu'c'passe ?-Vérifie dans la chambre si y a pas d'araignée s'il te plait chéri, Reany a fait un cauchemar.-Hum-Kay ...Il s'approcha de moi alors que je le fixait avec de grands yeux ronds. Il zyeuta un instant la pièce avec un air de furet attentif puis posa son regard sur moi en se forçant a ouvrir totalement les yeux. Il lui adressa un sourire paternel et bien veillant.
-Bon, on va tout de suite voir si ces vilaines pas belle sont quelque par. Elles vont voir ce que je fais moi au sale bête qui embête ma petite fille adoré !
Il regardant dans les coins, sous le lit, sous les meubles, derrière les meubles, sur les meubles ... Même dans les meubles. Il se redirigea vers mon lit d'où je l'observais toujours de mes grands yeux bleus, la couette remonté jusqu'au nez. ll dégagea doucement la couette et me souleva a bout de bras pour inspecter le lit avant de me recoucher.
-Rien du tout m'm'zelle.-Sûr ?-Affirmatif !-Merci Papa.-Un bisou !Il lui présenta sa joue et je l'embrassai avec amour. Il ébouriffa mes cheveux puis après quelques mots doux, tout le monde se rendormi.
Au petit matin, je me levais rapidement pour allé me laver et m'habiller. Toute seule ! Tout le monde disais que j'étais pourtant encore très jeune mais que j'étais très en avance pour mon âge. Mais moi j'aimais bien faire les chose par moi-même, et c'était facile de s'habiller !
Je couru dans la cuisine pour le petit déjeuné et m'assied alors que ma mère déposer un pan cake dans mon assiette.
-Bonjour ma chérie, tu as pas refais de cauchemar ?-Non ! J'ai juste rêvé de papa qui faisait une danse bizarre c'était drôle !Il me jeta un regard sceptique par dessus son journal qu'il faisait semblant de lire avec attention. En fait, il ne faisait que regarder les bandes dessinées et la réponse des mot croisés, c'est lui qui me l'avais dis l'autre jour ... J’avalai mon petit déjeuner en vitesse avant d'aller chercher mon sac. Lorsque j'arrivai à l'entré, maman arborait mon manteau et un petit paquet de feuille colorées et cartonnée.
-Oublie pas tes invitations ma chérie, ton anniversaire c'est ce week end il faut que tu invites tes copains et copines !-Ho oui, merci maman !J'enfilai mon manteau, lançai son sac sur mon dos avant avant de prendre les incitations. Je les distribuerais dans sa classe et dans la cours de récréation. Maman m'accompagna à l'école alors que papa partait pour le travail. Il était chauffeur de bus, et même qu'avant ça, maman m'avais dis qu'ils travaillaient tous les deux comme Mercenaires, ça veut dire qu'ils se battaient contre des méchants et des monstre pour protéger des gentils gens qui leur donner de l'argent pour les remercier. J'aimerais bien faire ça plus tard, pour être aussi forte que mon papa !
Arrivée à l'école, j'allai aussitôt dire bonjour à la meilleure copine avant de rejoindre des copains avec qui je jouais souvent a des jeux de garçons. On aimait beaucoup escalader les arbres ou tout autres trucs qui semblait amusant à gravir. Je commençait alors à distribué mes invitations. Je remarquais alors un garçon châtain au yeux émeraude. J'étais dans une école composé de beaucoup d'enfant asiatique, il l'était aussi mais sortait largement du lot avec ses couleurs d'yeux et de cheveux unique. Mes invitation en main, je le fixais un moment ... Il fini par poser les yeux sur moi et me sourit. J'allais m'approcher pour lui donner une invitation mais mes jambes se bloquèrent et la cloche sonna. Je rentrai alors en classe. Je parlai avec la meilleures amie de ça. Elle m'encouragea de toute ses forces pour que j'aille lui parler. Je le ferais à la récréation.
A l'heure dit, je cherchai le garçon dans la court. Il était près d'un arbre et parlait avec son copain, ils étaient toujours tous les deux. Je m’approchai donc rapidement mais ralentis alors que j'étais plus qu'à quelques pas de lui. Je perdit mon sourire et me mordit les lèvres alors qu'il se tournait vers moi. Au milieu de cette foule de tête brune au yeux sombre, je savais que mes cheveux blond et mes yeux bleus verrons ne passait pas inaperçu, il devait déjà m'avoir vu.
Sans un mot, je lui tendit une carte d’invitation et je regardai ailleurs. Il la prit en me remerciant puis j'en donnait une à son copain. Je tentai de dire quelque chose mais je ne trouvai rien ... Je tournai donc les talons pour retourner avec mes amis.
Le lendemain, il pleuvait. J'avais bien pensé à retrouner parler au garçon aux yeux verts, mais je n'en eut pas vraiment l'ocasion. Je revenais à la maison avec une nouvelle très bonne note et maman me félicita. Après le gouté, nous quitâme notre appartement pour nous rendre au super-marché du coin. Il était à quelques rue de là et il fallait montré une pente pour y accéder, en ce jour de pluie ça allait être drôle !
J'enfilait mon ciré bleu décoré de papillon, m'équipa d'un parapluie-tête-de-chat puis maman et moi allons affronté la pluie diluvienne. Sur la route, je Le croisai. Le garçon aux yeux verts ... J'aurais peut-être dû demander son nom lorsque je lui donnai l'invitaion, si ça se trouve, il ne viendra pas à cause de ça. Se serait dommage.
Nous nous fixâmes un long moment puis échangons un sourire avant que nos mère respectives ne nous tirer avec elle loin de l'autre. Je lâchai la main de ma mère pour aller sauter dans les flaques, c'était amusant la pluie ! J'aimais bien ça. Je sautai pieds joint dans les flaques en chantonnant la dernière comptine que nous avait appris la maitresse à l'école.
-London bridge is falling down, falling down, falling down. London bridge is falling down my faiiir laydy ♪Je manquai de foncer dans une vieille dame et maman me ratrapa alors en me demandant de faire attention. La dame passa sans même se rendre compt que j'existais puis maman repris ma mains pour continuer vers le super marché qui était en vu. Je commençai alors à énuméré tout ce don j'avais besoin pour mon anniversaire, bonbon, confétis, gâteaux ... Maman m'écoutais en souriant, oscillant la tête d'un air compréhensif.
Elle tourna alors la tête vers la route, où apparaissait au loin un bus. Elle le fixa longument et le montra du doigt.
-Regarde c'est papa !Je suivis son regard et afficha un large sourire en levant les mains au ciel pour faire de grand signe. Papa nous reconnu et nous salua en souriant. Je me retournai sur le passage du bus alors que maman me tirait déjà vers le magasin. Soudain ... Tout sembla ralentire. Le bus filait à toute allure, le feu se mit au rouge ... Le bus ne freinait pas. Une voiture s'engageant devant lui, il vira à droite toute venant percuter un camion. Les deux engins roulèrent l'un sur l'autre das un fracas immonde alors que j'hurlais à plein poumons. Maman hurla elle aussi et se précipita vers le lieu de l'accident ... Moi, je ne sentait plus mes jambes. Je tombé comme au ralenti, je pouvais presque voir les goute d'eau ralentir elle aussi. Mon corps devint galcial, mon coeur se déchira, explosa en milles morceaux, mes larmes vinrent se mêler à la pluie alors que mon parapluie jutait et dévalait lui aussi la pante. Je voyais ma mère courire en hurlant le nom de mon père, mon coeur semblait s'être arrêté ... j'avais froid, je sentait mon corps se glacer alors que des larmes brûlante dévaler mes joues. Des bras m'attrapèrent, je restai immobile. C'était le gérant du super marché, qui était un amis de maman et papa. Il plaqua ma tête contre son épaule ... Comme s'il pouvait m'empêcher de voir l'accident qui avait déjà eut lieu ...
Lorsque l'ambulance arriva, maman avait demandé au monsieur du super marché de me garder, mais je me faufilait au dernier moment dans l'ambulance auprès de maman et papa. Je tenait la main de maman avec force. Maman tentait de retenir ses larmes et je l'imitai.
Nous arrivâme bientôt à l'hopital où mon père fut emmené en réanimation. Maman et moi suivîme le mouvement. Les médecins tentèrent de le réanimer, le corps de papa se souleva à plusieur reprise puis la une machine fit retentire un long "bip" régulier ... Papa dormait.
-On ne peut plus rien faire ... Heure du décé : 20h29Maman s'approcha de papa en pleurant très fort.
-Non !! Non !!!!! Vashyron !! Vashyron c'est impossible réveille toi !!! Je t'en pris réveille toi ! Vahsyron !! Elle tomba à genou en plaquant la main papa contre son front alors que je retais totalement pétrifier. Je fixait la scène, une expression d'horreur figé au visage, mes larmes coulants silencieusement. Ma gorge était nouée, mon ventre aussi, mon coeur lui, était en miette.
Soudain, la porte claque, s'ouvrant brusquement. Les médecins s'approchèrent d'un gros bonhomme à la tête peu commode mais il les repoussant.
-Lui ! C'est le conducteur du bus !!!! Ma fille est morte à cause de lui laissez moi le voir !!! Je ne lui aprdonnerait pas !! Je vais luif aire payer !!!!Je serrais les points ... je compris alors ... Que mon papa s'était endormis pour toujours. Ses paupières ne s'ouvriraient plus jamais, ses lèvres ne contracteraient plus jamais aucun sourire, ses sourcils ne se fronceraient plus, jamais plus ... il ne me protera sur ses épaules ... Il était parti.
Un cris sorti enfin de ma gorge et je me ruait sur le bonhomme pour marteler son enorme ventre moue de coup de point. Je pleurais, je hurlais, je frappais comme une furie quand un médecin vint m'éloigner. Je me débati, hurlant toujours. Un médecin anonça alors à cet ogre la nouvelle. Je moride la main du médecin qui me retenais pour retourner frapper cet ordure.
-Vous êtes qu'un ... méchant ! Pourrie ! C'est mon papa ! C'est mon papa, il ne se réveillera plus !!! Vous avez pas le droit de dire ça sur lui !!!Je pleurai et hurlai de plus belle, je mettais toutes mon enenrgie à frapper se monsieur. Finalement, c'est maman qui m'attrapa et elle s'inclina respectueusement devant l'ogre en lui demandant pardon. Moi je le fixais avec argne, pourquoi est-ce qu'lle lui montrait tant de respect ? Il n'en méritait pas !!!
C'est à partir de ce jour que je commençais à changer. J'étais sûr que tout était de ma faute, je haussait la pluie, je haissais ces gens qui remettait mon père en cause. Je savais qu'il n'était pas en tore. Ils mentaient !
Si je n'avais pas fait signe ...
S'il n'avait pas plue ...
Si ce camion n'avait aps était là ...
Si le feu avait était vert ...
Si ...
Si je n'avais jamais existé ....A l'enterrement, il n'y avait que moi et maman. Tous nos amis n'avaient pas pu venir ... Maman restait compréhensive, mais j'étais sûr que c'était à cause de ce que racontait la télé et les journeaux. Ils disaient tous que c'était de la faute de papa ...
Papa ... Pourquoi était-il parti ? Pourquoi ne pourais-je plus jamais le revoir ? Il ne le méritait pas !!! Je voulais le revoir ! Je voulais revoir maman sourire et embêter papa ! Pourquoi ....
Les mois qui suivrent, je vus tous mes mais me lâcher un à un. Certains m'insultait, d'autre disais qu'ils ne voulaient plus me parler parce que leur parent leur interdisait. Mon m'insultait de monstre ... Pourquoi faisaient-ils ça ? Qu'est-ce que j'avais fait ?
Bientôt, je décidais de ne plus y aller, même les professeurs m'ignorais ...
A la maison, maman n'allait pas bien. Elle était fatigué, on l'avais renvoyé de son travail, elle toussait tout le temps. Je lui demandait d'aller voir le docteur mais elle me disait qu'il n'avait pas le temps. Un jours, j'appellai moi même pour le faire venir, il raccrocha dés qu'il entendit notre nom.
Pourquoi nous abandonnaient-il tous ?
Nous n'avions plus d'argent, maman ne sortait plus, elle ne se levait même plus. Je peinais à trouver de la nourriture, j'en vint à chaparder quelque reste dans les restaurant ou autre point de restauration ... Bientôt, je ne sorti plus moi non plus.
Maman était très fatigué, elle ne souvenait jamais de la veille, si bien que, pour ne pas l'inquiéter, j'inventer des journées d'écoles.
Je venais me gliser dans les draps, près d'elle.
-Ma petite chérie ... Tu as bien travaillé à l'école aujourd'hui ?-Oui, j'ai eut un A+ au devoir de mathématique. Et la maitresse a dis que j'avais fais un très beau dessin en art plastique.-C'est très bien ma chérie ... Ton père serait fière de toi. Ce jour la, elle m'embrassa sur le front et s'endormi. Elle devint toute froide, et je ne senti plus sa respiration chatouille mon visage. Je me collais contre elle pour la réchauffer.
-Maman ... Les enfants sont méchants à l'école ... Pourquoi plus personne ne nous parles ?Elle ne répondit pas.
-Maman ... Je t'aime ... Papa me manque ... Toi tu ... Tu resteras avec moi hein ? ...hein maman ?A nouveau, des larmes brûlantes dévalèrent mes joues glacés.
-J'ai peur ... Je n'aime pas être toute seule. Il pleut encore ... Il n'y a pas de bruit à par la pluie ... ça me fait peur maman ... Je voudrais que papa soit là, il jouerait du piano et nous on chanterais pour l'accompagner ... comment avant ...Je collai mon front contre son épaule.
-Maman, chantes avec moi ... London bridge is falling dawn, falling dawn ... ♪Je m'endormi au milieu du premier couplet, et j'epsèrait retrouver papa et maman en me réveillant. Mais non. A mon réveille, il y avait juste maman qui était froide. Elle ne se réveillait pas. Le surlendemain, je continuais de lui apportait ses repas, mais refroidissaient eux aussi ... Le soir, je m'approhe de l'oreille de maman qui commençait à sentir mauvais.
-Maman ... Dis bonjour à papa pour moi ... J'espère vous revoir bientôt ....Je la laissais se reposer en paix, et rejoin ma chambre pour étreindre l'énorme ours en peluche, Monsieur Teddy. Je me couchai par terre en le serrant contre moi.
-Monsieur Teddy, aide moi s'il te plait. Papa et maman se sont endormi, mais moi je continue de me réveiller. Je suis bizare ?Le lâchait quelques larmes.
-Monsieur Teddy, aide moi à m'endormir s'il-te-plait.Je fermais les yeux. Je restai couchai très longtemps, et je continuais de réveillait. Je restais longuement allongé, attendant que le sommeil s'emporte comme papa et maman ... Mon ventre était vide, j'avais faim, soif, mais je restais immobile. Je perdit progressivement mes forces et mes yeux se refermèrent ... J'esquissais un léger sourire alors que je sentais les batements de mon coeur diminuer petit à petit .... Papa, maman, attendez-moi, venez me chercher, j'ai peur de me perdre toute seule. Il pleut, je n'aime pas ça, la plus c'est froid, ça rend malade et ça arranche les gens qu'on aime.
Mes lèvres, mes doigt et mes orteilles devinrent glacés, puis mon corps s'engourdit. Je m'endormi profondemment avant de sentir ma respiration s'arrêter ...
Puis plus rien.
Le silence,
Le noir,
Le sommeil éternellle ...?
Non ...
Des fourmis envahir mon corps après des lustres. Il me sembla que des semaines s'étaient écoulait et ... Mon corps me piquait. Je sentait ma poitrine se soulever machinalement j'ouvris doucement les yeux, d'où coulait toujours des larmes chaudes.
-Papa ... Maman ....? articulai-je.
Ils n'étaient pas là, j'étais
seule.
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Mer 7 Sep - 17:38
