Rage and carnage [PV Kadaj]

Mais pour qui se prenait-il celui-là ? Il venait la débusquait et tuer tous les alliés sous prétexte qu’il « voulait la retrouver » pourquoi ? On ne sait pas, et maintenant à la première Barbie siliconée qu’il croise il se casse comme ça. Autant vous dire qu’à cet instant même, Luna n’était pas contente …. Du tout.

« La prochaine fois que tu croises ma route, Raiden, ne te démonte ta charmante mécanique. Tu vas regretter les laboratoires, crois-moi. »

Les yeux bleus d’aciers de la demoiselle s’assombrir tel un ciel menaçant d’orage. Elle tourna doucement la tête vers la fenêtre où elle pouvait observer les autorités approcher avec hâte. Elle maintenant encore tant bien que mal la colère qui la rongeait et dévorait petit à petit l’âme de sa jeune hôte.

« Tu vois, ma petite Luna … Tu es toute seule, définitivement seule. Finalement, tu devrais me remercier, moi j’ai toujours était près de toi … toujours… et crois-moi, je serais toujours là. Tout le monde se moque de toi, tu n’existes plus au regard de qui que ce soit. »

Dans les méandres de colère de l’esprit du Zampakutho, était prostré la silhouette de la jeune fille, tel qu’elle était autrefois, il n’y a que quatre ans … Une petite fille de sept totalement terrorisé. Les scientifiques du laboratoire lui avait fait subir de terrible épreuve afin de faire vieillir son corps aussi vite en l’a lien de force avec un esprit bien trop puissant. Cela avait décuplé son corps, sa force physique et magique mais avait ronger son âme jusqu’à ce qu’il ne reste d’elle d’une pâle lueur insignifiante.

Luna, ou plutôt celle qui possédait son corps artificiellement vieillit, raffermit sa prit sur les armes qui devait normalement contenir son esprit et sa rage. Elle sera les dents alors que sa colère se manifestait à présent sous forme d’une aura blanchâtre et glacé qui émanait de tous les pores de sa peau. Voir ces misérables humains la mettait un peu plus hors d’elle chaque seconde.

-Bande de misérables insectes.

Un homme entra et fut surprit de la voir ici. Il braqua son arme sur elle en lui demandant de décliner son identité.

-Vous méritez le châtiment qui plane au-dessus de vos têtes. Bientôt la planète sera nettoyée de votre cupidité.
-Je vous ordonne de décliner votre identité.
-Je n’en ai plus depuis longtemps, et toi non plus bientôt …

En une fraction de seconde insignifiante, Luna se retrouva derrière l’homme qui ne sentit même pas la lame trancher sa gorge. Il eut à peine le temps de porter ses mains contre son cou qu’il s’effondrait au sol, tel le tas de viande qu’il était.

-Ne jamais oublier la douleur, ne jamais pardonner … vivre pour se venger.

Elle releva doucement son regard bleu d’acier sur une demi-dizaine d’homme qui venait de rentrer, pour leur plus grand malheur … Le regard de l’albinos seul suffit à les pétrifier et ils se transformèrent en statu de glace. Elle marcha d’un pas félin et calme jusqu’à eux et les poussa du pied pour qu’il se brisent en milles éclats de glace.

Elle sortit en face de la banque, faisant face à un escadron d’élite qui braquait tous leurs armes sur elle. Elle les toisa avec mépris, même son habituelle sourire mesquin avait disparu tant sa haine était virulente. Ses maux et ceux de sa propre petite hôte la hantait pour attiser un peu le feu glacé de rage qui animait son cœur.

Elle se souvenait de ces temps reculés où on l’a traquait pour sa différence. De ce jour où elle fut trahit par cet homme qu’elle aimait tant. Cet instant où ils l’attrapèrent en l’attachant comme une bête. Ces longues heures de torture avant qu’on la démembre vivante pour enfin lui arracher son âme. Cette éternité de souffrance passée dans le néant …

Elle se souvenait de la vie de rat de laboratoire de la petite Luna avec qui on l’avait liée et contre qui elle avait laissé déferler toute sa haine. Ses opérations à cœurs ouvert sans anesthésie, la douleur des piqures et des sérums qu’on lui injecter dans le but de la faire grandir à une vitesse exponentiel … La sensation d’écartèlement lorsque ces sérums commencèrent à faire effet.

-Crevez, tous autant que vous êtes …

Une déferlante de balle fut lâcher contre elle alors qu’en un simple geste, elle s’enrobait qu’une puissante aura glacée qui renvoyèrent les projectiles dans toutes les directions, ne venant pas simplement tuer leur envoyeur, mais aussi des civils qui était autour. Ceux qui ne reçurent pas de balles se transformèrent en statue de glace au contact de l’aura.

Les lieux était à présent recouvert d’une épaisse couche de neige gelé, alors qu’elle entendait encore au fond d’elle la petite fille pleurer. Cette petite fille qui ne pouvait même pas appeler ses parents qu’elle ignorait l’existence même de ce que les autres enfants appellent « papa et maman ». Elle avait peur, elle avait mal et froid …

Cette déferlante d’aura libéra la demoiselle du surplus de rage qui l’empoisonnait. Elle tourna les yeux vers un petite groupe de journaliste qui filmait la scène avant de se pétrifier et qu’il ne se glace jusqu’au noyau même de leurs cellules. Son sourire mesquin revint habiller ses lèvres, lâchant même un petit rire nerveux alors qu’elle quittait les lieux.

C’est en retournant dans son secteur favori de Midgar qu’elle croisa par un heureux hasard ses cibles. Trois jeunes argentés à bord de bolides modernes discutaient sans qu’elle ne puisse distinguer leurs mots. Son sourire s’élargie alors qu’elle disparaissait de sa position initiale en un vif flash clair. Elle réapparut tout près de ses cibles –qui ne l’avait pas remarqué- confortablement affalé sur une des motos alors qu’il lui tournait le dos.

-Alors mes petits poucets, on complote contre son fréro d’amour ? Lança-t-elle, les faisant se retourner vivement.

Ils la menacèrent aussitôt de leurs armes et elle agita sa main devant sa bouche en imitant un baillement.

-On se calme mes petits chéris. fit-t-elle en décroisant et recroisant ses longues jambes gracile. Ne voudriez-vous pas retrouver votre maman avant de commencer quoi que ce soit d’autre ?

Elle eut un sourire satisfait, comprenant qu’elle avait attiré leur curiosité.

-Je sais où elle est …. Chantonna-t-elle avec allégresse.

Cela faisait ce qui lui sembla être une éternité que Kadaj et ses frères cherchaient, et cherchaient encore...leur chère mère...
Et dire que son idole...Séphiroth...les avaient trahis ! Une colère sans nom embrumait l'esprit de la fratrie. Il le tuerait, de ces propres mains !!!

Les trois frères, désœuvrés discutaient fumaient et discutaient pour savoir quand quel bar à pute aller. Mais leur charmante discussion tourna court lorsqu'une femme qui venait de s'installer dans gêne sur le bolide de Yazoo les provoquèrent.

On ne touchait JAMAIS aux motos, règles d'or chez eux. Yazoo fulminait de tout son être. Armes sortie, Kadaj resta la clope au bec et finit par ranger son arme en premier, laissant le soin a ces frères de la garder à l'oeui.

- Alors mes petits poucets, on complote contre son fréro d’amour ? Lança-t-elle.

Montrant bien qu'elle s'ennuyait elle énerva Loz et Yazoo, Kadaj resta de marbre, il avait changé et n'était plus...si impulsif...

-On se calme mes petits chéris. Ne voudriez-vous pas retrouver votre maman avant de commencer quoi que ce soit d’autre ?

- Je sais où elle est …. Chantonna-t-elle avec allégresse.

- T'es qui toi bordel? Lanca volcanique Yazoo. Barre ton gros cul de ma moto !

- Tu voulais une salope Yazoo, en voilà une. Calme toi. Lança Loz un peu plus zen. Il s'adressa ensuite à la fille. Qu'es-ce que tu veux?

Mais avant qu'elle n'ai pu répondre Kadaj intervint.

- Ne l'écoutez pas. On se casse.

Mais elle ne bougea pas de la moto. De ce fait Yazoo qui était hors de lui se jeta sur elle, mais lorsqu'elle fut le premier micro mouvement pour l'attaquer en retour les deux autres intervinrent et Kadaj la poussa juste assez pour qu'elle se rétame comme une merde juste derrière l'engin.

- J'ai pas de temps à perdre, gamine.

Montant sur sa moto il démarra. Suivit des deux autres.

Il avait été trahis par son sang. Il n'allait certainement pas faire confiance a la première pouffe venue. Surtout qu'il l'énervait avec son petit air condescendant de merde.

Elle s’amusa énormément à les voir s’exciter tout seule comme des pucelles près-pubère. Sa déesse allait être bien mécontente de voir tout l’intérêt qu’ils peuvent porter à la retrouver … Elle les imaginait bien plus mature que ça, les petits argentés, bien plus dévouer également. Mais on dirait bien qu’ils étaient en pleine crise d’adolescence, les pauvres petits avaient besoin de se trouver. Lorsqu’elle vit la grande folle se jeter sur elle, elle ne bougea pas d’un pouce, elle avait besoin d’un simple petit contacte physique pour la suite … Ce que lui donna, de façon très prévisible, l’argenté aux cheveux mis-long qui paraissait à la jolie immaculée d’une hygiène douteuse. Elle se laissa basculer en arrière et ré-atterrit agilement sur ses pieds en s’agenouillant. Sans perdre ce sourire carnassier qui lui sied si bien, elle les regarda tranquillement s’éloigner, effleurant de ses doigts son épaule où le jeune homme l’avait touché. Elle lâcher enfin le rire qu’elle retenait depuis le début de la confrontation. Non, franchement, ils l’avaient beaucoup déçu. Elle ne pensait pas qu’ils seraient aussi misérable, étant donné que c’était sa déesse qui lui avait demandé de les retrouver, elle s’était déjà faite une certaines idée avec pas mal d’estime … Et voilà que ces misérables de valaient pas mieux que ces insectes d’humains.

Tant mieux. Elle allait jouer.

Son rire résonna en écho dans la ruelle, alors que de la glace se formait là où le trio ne put le voir. Le premier à le remarqué aura peut-être été celui qui l’avait poussé, car sa main gela en premier. Très vite, la glace se propagea sur les roues des trois bolides, puis sur les jambes de ceux qui les chevauchaient, les soudant à leur si précieuses monture. La glace cristallisa leur corps jusqu’en haut du torse, les immobilisant totalement, s’infiltrant doucement dans leur chair pour leur retirer tout espoir de fuite que ce soit par la force ou la magie. Depuis que sa déesse lui avait fait ce don, l’étendue de ses pouvoirs avait grandi de façon exponentielle. Elle n’allait pas laisser des petits minables lui filer entre les doigts sans leur apprendre le respect.

Elle s’approcha d’un pas léger est tranquille, nonchalant. Elle passa tranquillement près d’eux et fit un petit tour sur elle-même pour leur faire face.

-Quel âge tu as, toi, fillette … seize ans ?

Elle ricana. Des trois, il n’y en avait qu’un qui ressemblait vraiment à un homme. Elle braqua ses prunelles bleues d’acier sur celui qui l’avait poussé, le leader de la petite bande de bras cassé à ce qu’on pourrait penser. Elle leva doucement sa jambe pour la poser sur sa roue gelée avec délicatesse. Son sourire s’élargie et elle donna un grand coup de pied sec pour écrasé le petit qui se brisa en mille petite éclat de glace dans un son strident.
Elle eut alors un sourire faussement amical très intense.

-Estime toi heureux mon mignon, la prochaine fois c’est ta jambe. Fit-elle chaleureusement.

Elle lui attrapa alors le menton, et la glace se propagea sur le cou du jeune homme jusqu’à sa mâchoire. Sentant le coup venir, elle laissa le givre aller transformer la salive du garçon en glace.

-Je ne suis pas là pour faire du baby-sitting, comprit les pucelles ? Jenova m’a demandé de retrouver ses fils, et votre attitude va beaucoup la décevoir, c’est certain. Elle se remet déjà difficilement de la trahison de votre frère … qui est d’ailleurs le prochain sur ma liste.

Son regard se durcit alors qu’elle agripper le petit leader d’opérette par les cheveux.

-Et je ne suis vraiment pas d’humeur.

Il allait parlait mais elle le fit taire en lui administrant un puissant coup de poing dans la mâchoire qui lui ouvrit la lèvre.

-Après la jambe, ça sera les couilles. A toi de voir. Menaça-t-elle en posa son pied sur la jambe glacé de l’argenté. Si je dis ça, moi, c’est pour toi, mon petit chou.

Elle lui tapota la tête et se retourna pour commencer à s’éloigner dans la rue.

-Ne me forçait pas à annoncer à Jenova que tous ses fils sont des pleutres qui l’ont trahit.
Elle les regarda par-dessus son épaule en leur lançant un sourire hautain.

-Alors, vous me suivez ou vous crevez ?

Bon, alors en premier sa jouait les salope, ensuite sa continuait en amochant sérieusement sa moto...Kadaj allait vraiment la butter si elle continuait avec ces grands airs...
Elle leur fit le coup de salut.je.suis.la.plus.forte.alors.tu.m'obéit.et.tu.ferme.ta.gueule.
Ok.

-Je ne suis pas là pour faire du baby-sitting, comprit les pucelles ? Jenova m’a demandé de retrouver ses fils, et votre attitude va beaucoup la décevoir, c’est certain. Elle se remet déjà difficilement de la trahison de votre frère … qui est d’ailleurs le prochain sur ma liste.

-Et je ne suis vraiment pas d’humeur.

Alors qu'il allait lui répondre elle lui amocha la lèvre.

- Après la jambe, ça sera les couilles. A toi de voir. Menaça-t-elle en posa son pied sur la jambe glacé de l’argenté. Si je dis ça, moi, c’est pour toi, mon petit chou.

Elle continua dans la rue laissant les trois frères.

- Ne me forçez pas à annoncer à Jenova que tous ses fils sont des pleutres qui l’ont trahit.

Elle les regarda par-dessus son épaule en leur lançant un sourire hautain.

-Alors, vous me suivez ou vous crevez ?

Kadaj lécha le sang de sa lèvre et un sourire vint éclaircir son visage.

- Jusqu’à nouvel avis, Jenova n'a pas besoin d'une salope dans ton genre pour faire quoique se soit, de plus, si tu crois qu'on va te suivre bien gentiment, avec tes manière, tu peux aller crever. Trouve toi d'abord une éducation. Et si tu crois que je vais te laisser Séphiroth....Il rit.
Personne n'a besoin de toi ici. On c'est toujours démerdés seuls c'est pas maintenant que ça va changer, alors casse toi, si tu es de si mauvaise humeur, pauvre petite. De plus aucun de nous ne trahis Jénova. Tu ne sait rien de notre vie, alors ne al ramène pas.

Elle voulut faire exploser la glace mais il n'était pas une sous merde comme elle semblait le croire et il s'en sortit sans une blessure.

- Je supporte pas les gens qui pensent tout savoir de tout le monde et qui se pensent au dessus des autres.

Elle semblait bien mécontente, oh, il l'avait véxée?

Yazoo se recula sur son bolide pour laisser à Kadaj le soin de monter.

- Si tu sais si bien ou es Jénova, tu n'a qu'a lui dire qu'elle se manifeste directement a nous. Nous ne te suivrons jamais. Pas toi, Pas une prostituée mythomane qui essaie d'attirer l'attention. Notre mère mérite tellement mieux que....toi. Dernier mot prononcé avec un dégoût palpable. De plus, je ne veux pas d'un deuxième Séphiroth. Je n'obéirait qu'a Jénova en personne.

Une lueur étrange apparut soudain....

Elle gardait un sourire décontracté, quoi qu’un peu carnassier en le jugeant d’un regard pétillant, les bras croisés. Il était plutôt amusant ce garçon, à s’énerver comme ça. Il ne devait pas compter tellement d’année d’existence, ce pauvre petit incarné. Lui, tout comme ses frères, devaient être bien perdu sans leur chère maman. C’était presque touchant de voir avec quel estime il pouvait parler d’elle, mais surtout particulièrement hilarant de voir comme au final … Il ignorait absolument tout de leur propre « mère », celle-là même qu’ils chérissent tant sans même lui avoir adresser la parole une seule fois. Qu’ils ne la reconnaissent pas une fois devant elle ne l’étonnerait même pas, les incarnés, ça ne doit pas être très futés à ce qu’elle pouvait en juger.

Elle profita d’une pause dans les paroles excitées du jeune homme pour émettre un petit rire.

-Crever, je le suis déjà voyons, mon garçon. Son sourire l’élargit. Tu n’as aucune idée de ce dont a besoin Jenova.

Elle esquissa un geste bref, histoire de leur faire une petite frayeur. Elle remarqua que celui aux cheveux court se crispa légèrement, mais elle ne fit que fragiliser sa glace, laissant ainsi l’occasion à celui du milieu de se dégager fièrement. Elle posa le point sur sa hanche, replaçant une mèche de cheveux vagabonde d’un geste las de l’autre main.

-Sache, ma petite fleur sauvage, que je ‘ne ME pense pas au-dessus des autres’. Je le suis, voilà tout, il faudra t’y faire. Soit pas si complexé par ton corps, je suis sûre que tu trouveras bien une fille pour aimer les gringalets chétifs dans ton genre sans que tu ais besoins de la payer. Un jour, peut-être.

Elle croisa de nouveau les bras alors que son regard se faisait plus hostile, non sans perdre la totalité de son sourire. Elle sentait que cette réponse et cette détermination n’allait pas plaire du tout à sa chère déesse. Alors qu’une lueur noire sorti des abysses apparaissait à ses pieds, elle marmonna d’une voix hostiles.

-Oui, tu as raison, elle mérite bien mieux … Bien mieux que des prétendus fils, pauvres incarnations ratés qui lui font perdre son temps … Une déesse à bien d’autres choses à faire que d’aller à la pêche aux sujets impies …

Elle baissa la tête alors que la lueur semblait dégager sur son corps une farandole de symbole noir tous dégageant la même lueur particulièrement étrange et anormal. Une lueur noir, la lueur des ténèbres les plus profonde, celle du Chaos.

Spoiler:

Elle lâcha un léger rire essoufflé.

-Hehe, cachez-vous les filles, maman arrive pour vous donner une bonne fessée.

Elle se crispa légèrement avant de rejeter la tête violemment en arrière alors que son corps était entièrement envahit par cette douleur. Dans la brume ténébreuse et épaisse qui recouvrait son corps, une silhouette apparut, un visage divin don l’œil gauche scintillait d’une vive lueur rouge surnaturelle se superposa au sien.

Spoiler:

La voix de Luna se dédoubla alors pour résonner de concert avec une autre comme venu d’outre-monde.

-Notre quête ne fait que commencer, j’en appelle à mes soldats, qu’ils rejoignent les rangs de mon armé et décimes nos ennemis. Les traites et les déserteurs seront exécutés, les chiens exterminés ou réduit en esclavage. Mais avant, ils devront souffrir.

Des tentacules jaillirent de la silhouette ténébreuse et nébuleuse pour s’enrouler autour des bras et du cou des trois incarnations alors que les mêmes marques que celles de Luna commençait à se propager sur leur corps.

-Suivait la voie de la vengeance, afin qu’ils paient pour leurs affronts passés. Bientôt régneront les Zampakutho, et les humains seront anéantis.

La lueur se transforma en geyser, jusqu’à en percer un trou parfaitement rond dans les épais nuages qui recouvrait la ville-usine. Puis il s’éclipsa tout aussi rapidement, laissant Luna et les trois autres retomber à genou, quelque peu éprouvé par cette manifestation qui était très couteuse en énergie physique et psychique.

Reprenant son souffle, Luna se leva tranquillement et s’approcha des trois argenté qui réalisait enfin la situation.

-Bien, vous me croyez maintenant.

Celui aux cheveux longs leva les yeux vers la jeune femme avant de retirer son gant pour examiner les marques qui circulait sur sa peau.

-Il s’agit du don de notre déesse … Enfin, cela peut tourner en malédiction si vous décidez de la contrarier.
Elle lui tendit la main en souriant.

-Nous sommes partit du mauvais pied alors que nous sommes dans le même camp. Je n’ai aucune envie de perdre mon temps à me chamailler avec des petits cons, mais je serais ravi de faire équipe avec les braves soldats de ma déesse.

Décidément cette femelle lui faisait friser les poils du nez. Le problème c'est que si lui craquait les deux autres suivraient et elle était tout de même forte, chercher leur mère avec un membre en moins en deviendrait...compliqué...

- Sache, ma petite fleur sauvage, que je ‘ne ME pense pas au-dessus des autres’. Je le suis, voilà tout, il faudra t’y faire. Soit pas si complexé par ton corps, je suis sûre que tu trouveras bien une fille pour aimer les gringalets chétifs dans ton genre sans que tu ais besoins de la payer. Un jour, peut-être.

Kadaj ricana.

- C'est ça, j'y penserais.

Elle fit une pause dans son discours et reprit ensuite :

- Oui, tu as raison, elle mérite bien mieux … Bien mieux que des prétendus fils, pauvres incarnations ratés qui lui font perdre son temps … Une déesse à bien d’autres choses à faire que d’aller à la pêche aux sujets impies …

Kadaj s'énerva cette fois.

- "Prétendus fils", "incarnations ratées", "perte de temps"...Je vais te dire un bon trucs, c'est NOUS les ratés ici présents qui avons toujours été là pour notre mère, qui n'avons cessé de se plier au moindre de ses désirs et cela n'a pas toujours été une partie de plaisir car cela a au des coût sur certaines choses...pourtant nous avons toujours tout laissé tomber pour elle et son bonheur, c'est nous les incarnations ratées qui sommes restée même après le départ de Séphiroth même si elle ne nous aimera jamais comme elle l'a aimée, alors toi qui vient tout juste de tomber du ciel, qui en plus a reçu le don, je ne te laisserais pas le loisir de te foutre de notre parcours parce que d'entre tous ses fils ou de toi, c'est nous qui méritons le plus de reconnaissance de sa part. Quand tu aura fait les mêmes sacrifices et que tu sera pleinement heureuse de les avoirs faits, alors nous pourrons en reparler.

Elle ne répondit pas tout de suite et une lueur noire l'en empêcha de toute manière. Ils se mirent en garde. Quelque chose ne tournait vraiment pas rond chez cette fille !

- Hehe, cachez-vous les filles, maman arrive pour vous donner une bonne fessée

Luna était en train de se faire posséder par Jénova…ils le comprirent instantanément pour avoir déjà vu se phénomène auparavant. Tous trois se mirent immédiatement à genoux.
C’est là, que pour la première fois elle leur parla…

- Notre quête ne fait que commencer, j’en appelle à mes soldats, qu’ils rejoignent les rangs de mon armé et décimes nos ennemis. Les traites et les déserteurs seront exécutés, les chiens exterminés ou réduit en esclavage. Mais avant, ils devront souffrir.

Des tentacules vinrent entraver la fratrie et une chose étrange et douloureuse envahis chaque pores de leur peau si pâle.

-Suivez la voie de la vengeance, afin qu’ils paient pour leurs affronts passés. Bientôt régneront les Zampakutho, et les humains seront anéantis.

Se fut terminé, tous regagnèrent leur esprit et Luna revint à la charge.

-Bien, vous me croyez maintenant.

Kadaj leva les yeux vers elle, mais s’en détourna pour retirer ses gants et observer des marques étranges sur son corps.

- Il s’agit du don de notre déesse … Enfin, cela peut tourner en malédiction si vous décidez de la contrarier.

Elle lui tendit enfin la main, décidée a faire la paix.

- Nous sommes partit du mauvais pied alors que nous sommes dans le même camp. Je n’ai aucune envie de perdre mon temps à me chamailler avec des petits cons, mais je serais ravi de faire équipe avec les braves soldats de ma déesse.

Kadaj, sans mot dire saisait la main de la jeune femme en se relevant. Il fit juste un signe de tête. Il savait que Yazoo, qui était le plus sensible…risquait de…

- Elle nous à parlé….après tout ce temps ! Il avait limite les larmes aux yeux et un sourire béat illuminait son visage.

Kadaj le ramena sur terre en posant sa main sur son épaule.

- Plus tard, il faut y aller.

Il se tourna vers Luna :

- Alors ? Ou va-t-on ? Il souriait. Une joie immense avait emparé les trois argantés.

Montant sur leur moto il fit signe à Luna de s’assoir derrière lui.

- Sauf si tu préfère nous dire ou on doit aller et t’y rendre en marchant…

Un soupçon de provocation amicale imprégnait sa voix.

Elle était enfin parvenue à lui faire sortir ce qu’il avait vraiment dans les tripes, prouvant ainsi que sa fidélité pour Jenova était effectivement sans borne encore aujourd’hui. Mal traitez vos sujet et ils n’en seront que plus fidèle … Quel syndrome délicieux que l’Œdipe. Voilà enfin une colère justifié, une vraie rage d’homme. Homme esclave, mais homme quand même.
Elle dû cependant attendre l’apparition de Jenova pour communiquer sa satisfaction à son nouveau camarade d’arme. Ils allaient officiellement commencer à faire équipe maintenant et elle l’aurait sans doute tué au bout d’une semaine si il s’était obstiné à lui tenir tête.
Elle ne s’attendait cependant pas à ce qu’il se montre aussi concilient d’un coup et dû bien caché sa surprise lorsqu’il lui prit la main pour se relever. Elle lui adressa alors un des sourires dont-elle seule avait le secret, avec ce quelque chose d’énigmatique et mystérieux ainsi que, pour cette fois, un soupçon d’amitié et de fierté.

Entendant la voix tremblante d’un de ses comparses, elle se tourna vers celui qui avait les cheveux les plus longs des trois : Yazoo. Il semblait en réel extase et avait les larmes aux yeux. Cette vision attisa une fois de plus sa surprise alors qu’elle le jugeait d’un air blasé. Elle c’était trompée. Kadaj avait l’air un gros bucherons à côté de cette véritable fillette. Croisant les bras, elle admira ensuite la fraternité en pleine action et trouva cela presque touchant.

Son sourire étirait toujours ses lèvres alors que le leader de la petite horde se tournait vers elle pour enfin concéder à écouter ses conseils et la suivre sagement. Elle fit balancer sa hanche en lui adressant un regard malin mais amicale. Elle le regarda enfourcher sa moto et s’approcha doucement de lui de son pas félin.

-Je crois que je vais enfin commencer à t’aimer, mon chou.

Elle grimpa aussitôt derrière lui, glissant ses mains sur les hanches du jeune homme pour s’accrocher (et tripoter un peu, enfin, elle cherchait de quoi tripoter mais le jeune homme manquait un peu d’abdos à son gout).
Elle posa alors son menton sur l’épaule de l’argenté pour lui souffler quelques mots de sa voix langoureuse.

-Dans les entrailles de Midgar … Souffla-t-elle.

Elle se redressa alors pour ne pas encombrer son chauffeur improvisé qui démarra en trombe. Il y avait un passage dans cette immense ville usine, que personne ne connaissait sauf les initiés. Elle le guida jusqu’à ce passage qui les menèrent dans des souterrains aménager en véritable capital à des kilomètres sous la ville. Les trois soldats ne devait pas se douter de ce qui les attendait … une armée était au service de leur mère à présent. Une petite armée encore, mais elle grandissait chaque jour. C’était leur travaille pour le moment … le recrutement.

Ils disparurent de la surface de la ville afin d’aller à la rencontre de leurs devoirs et de leur mission. Celle de la lutte contre ceux du dessus, pour la gloire des Zampakuthos.