A pine avait-elle un moment de calme que le proviseur l'avait convoqué dans son burreau, elle se demandait bien ce qu'il allait encore lui demander celui là ...
Lucrecia était debout devant le grand et luxueux bureux du grand mini tout de l'école militaire de Midgard. Il était confortablement assis dans son fauteille en cuire puis posa son regard sur Lucrecia.
-Mademoiselle Crescent ...Il posa ses doigts les uns contre les autres. J'ai eut vent d'une rumeur sur vous ... Et cela ne me plait pas ...
Lucrecia gardait un visage impassible. Elle n'apréciait pas son employeur mais elle s'était toujours montré respectueuse malgré les quelque propos parfois déplacé de l'homme. Il devait bien avoir vingt ans de plus qu'elle mais se permetter de lui faire du gringue, au grand désespoir de la jeune infimière. Cette fois, il ne l'avait pas convoqué pour une quelconque invitation à dîner, cela semblait plus sérieux.
-Quel est donc cette rumeur Monsieur ?
-Il paraitrait ... Que vous soignez clandestinement des élèves de Balamb ... Qui sont nos ennemie.
-Clandestinement ? Si vous avez eut vent de cette rumeur c'est que je ne m'en pas caché. Pour moi ce n'était aps des ennemis, c'était juste des blessés et mon devoir est de soigner les blesser.
-Les blessé de cette école seulement Mademoiselle. Vous êtes sans doute ... L'une des médecin les meilleurs qui soit et vous devez être très convoité de nos ennemis.
-Comment pouvez-vous vous servir de ces jeunes pour faire la guerre ?
-La question n'est pas la ! Votre seul devoir est de prendre soin de NOS élèves ! Si vous ne respectez pas cette règle et bien je me verrais contrain d'employer des mesure plus sévère.
-Vous allez me renvoyer ? Rétorqua la jeune femme avec irroni, elle savait qu'elle était un grand atout pour cette école et qu'ils ne se séparerait pas de ses service.
-Non ... En aucun cas je ne voudrais cela voyon ma chère amie.
-Je ne suis pas "votre chère amie"
L'homme durci son regard.
-A partir de maintenant ... J'ai décidé de vous attribuer une petite équipe chargé de vous protéger ... Composé de professionnelle evidemment. Vous connaissez bien ces unités il sagit des Turks ...
Lucrecia equarquilla de grand yeux de surprise, aussitôt, elle senti ses larmes monter dans ses yeux, mais elle ne coulèrent pas. Depuis la mort de son fiancé, qui était un Turk, elle avait coupé les ponts avec ses collègues et amis ... Jamais elle n'avait eut à faire à eux depuis sa disparition, c'était bien trop douloureux pour elle.
-Et puis-je savoir pourquoi ?
-Tout simplement parce que je ne voudrais pas qu'un quelconque Balambien attente à votre vie si précieuse, ou que l'on vous enlève pour servir l'ennemi. Vous pouvez disposé, les hommes chargé de votre protection arriverons d'ici peu ...
Lucrecia se retourna et s'apréta à sortir.
-Si j'apprend que vous aidez des Balambien ... Ces hommes seront aussi chargé de vous surveiller et aurons pour ordre d'abattre tout Balambien s'approchant de vous, même les civils.
Lucrecia s'immobilisa puis passa la porte. Cette guerre était tellement stupide ! Ce proviseur était tellement stupide !!!
Elle se dirigeait vers son infirmerie quand elle reconnu une jeune fille assise seule dans la salle d'attente. Elle la toisa avec étonneement.
-Qu'est-ce que vous faite ici? La jeune infirmière regarda autour d'elle et entraina la jeune fille avec elle dans une des cabines de consultation. Entrez vite !
Dans la pièce, elle veilla à fermer la porte et baissa les stores des fenêtre. Elle fit ensuite face à la jeune Balambienne.
-Mais qu'est-ce qui vous prend de revenir ici ? Nous sommes en guerre je vous rapelles et le directeur viens de me donner des consignes sévère. Vous ne deviez pas être ici c'est bien trop dangereux.
Sa voix était celle d'une mère s"'inquiétant pour son enfant, elle n'était ni hostile, ni agressive.