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 On choisit ses amis mais pas sa famille il parait... Pourtant on nuit plus facilement à ses proches...

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On choisit ses amis mais pas sa famille il parait... Pourtant on nuit plus facilement à ses proches... Empty
MessageSujet: On choisit ses amis mais pas sa famille il parait... Pourtant on nuit plus facilement à ses proches...   On choisit ses amis mais pas sa famille il parait... Pourtant on nuit plus facilement à ses proches... Icon_minitimeVen 19 Nov - 20:28

[dsl je sais aps hoste la musique donc c'est une vidéo pour l'avoir]



Ce vide... pourquoi lui arrive t'il de ne plus penser ? le regard perdu dans le vide, une expression figée, une impression de... calme. Pourquoi ? Qui sait, peut être le sait-il ? pour limiter ses pensées ? restrindre ses douleurs ? Trier ses émotions ? mais peut être qu'il ne le sait pas lui même, peut être que c'est tout cela à la fois ou encore bien autres choses. Quoi qu'il en soit ça commence à devenir lourd et ça le fait chier. Comme le fait que son coeur ce serre à chaque détour et bisarement c'est à chaque fois juste avant qu'il ne l'apperçoive un bref instant. D'ailleur la dernière fois il s'est arrété au millieu du couloir en attendant que ça passe.

Ce matin so nréveil n'a pas sonné du coup il a dormi jusqu'à 11h30, mais là où certain verraient de la chance, lui voit tout autre chose car son sommeil était trufé de rêves. Plus insuportable pour lui que de passer une journée avec la personne qu'il hai le plus. Ses rêves ne son que pur Utopie lui montrant ce que désir réellement son coeur mais il ne l'accepte pas. Car ce qu'il voit il ne l'aura jamais ou ne le sera jamais, ou en tout cas pas dans ces conditions.

Son état n'est pas pir que d'habitude, pas mieux non plus. Il sais ce qu'il veut, il sait ce qu'il va faire, il sait comment, mais n'en a pas la motivation. Un vide trop grand est ouvert depuis trop longtemps. Il avait pensé le combler d'une façon ou d'une autres, sa première tentative ne fit qu'élargir ce trou, quand à la deuxième elle ne s'est pas révélé plus prometeuse et est pour le moment en stand-by. Ces deux "tentatives" étaient toute les deux différentes mais complémentaires, la première était certainement celle à laquelle vous pensez, la seconde était de se contenter de ce qu'il avait sans demander plus. Mais le resulta reste le même et l'histoire se réécrit de la même façon. C'est uniquement le crissement de la plume sur les page de sa vie, écrivant inlassablement les même mots, les même geste, la même histoire.

Il aurait toutes les raison valable pour déprimer comme il ne l'a jamais fait, mais il n'en a pas le courage. Il lui a dit qu'il ne le ferai plus, et même si aujourd'hui l'envis est grande ses paroles sont plus forte que tout. Peut être cela sera-t-il pris comme une insulte, mais au final il n'en a que faire, lorsque vous avez touché le fond plus rien ne vous importe.

Ce rêve... pourquoi ce rêve était il revenue après tant d'année ? pourquoi revenait il le hanter ?Pourquoi après tout ce qu'il avait enduré il était obligé de revivre cela éternellement... Pourquoi ? Il était assis à l'entré du temple de la foudre, un stylo et une feuille dans les mains.


*-j'aime ces grands moments de solitude passé devant une feuille blanche. a me demander ce que je dois écrire, si je dois écrire. et puis tout en écrivant l'intime persuasion que je fais une connerie. mais si je le fais pas je vais rester pendant plusieur jour à me demander ce qu'il se serait passé si j'avais écri. et puis ensuite viendra le moment fatidique. l'envoyer ou ne pas l'envoyer, comme si toute ma vie ne reposerai que sur cette unique décision. appuyer sur un unique bouton qui pourai fair basculer mon présent actuellement en stand by. mais de quel coté penchera-t-il personne ne le sait. peut être que ce sera du bon et dans ce cas le risque aurai été pris tel qu'il était. peut être du mauvais coté et alors ce risque confirmera son existance en tant que réalité. *

pourtant ce ne sera qu'une simple petite décision. peut être simple en apparence mais pour l'être qui la prend c'est une autres question qui se pose à lui pour le moment, doit il écrire ou pas, et s'il le doit que doit il écrire? il le sait mais n'est pas sûr que c'est ce qu'il a faire pourtant personne ne peut lui dire si ce n'est le destinataire. mais ce même destinataire se pose peut être les mêmes questions, penses les mêmes choses, a les mêmes peurs. qui sait, peut être que dans le fond tout ceci n'est là que par necessité à un futur peut être lointain ou peut être que cela amrquera la fin d'un rêve peut être commun. tout passe dans la tête de cet être assis devant sa feuille blanche à regarder le temps défiler devant ses yeux. le temps qui lui a à la fois tant apporté et tant pris. ce temps qu'il aime plus que tout et qu'il hais tout au moins. mais il reste impuissant devant ces choses qu'il ne controle pas, d'ailleur il est à la fois bien heureux de ne pas les controler et à la fois il a peur de cela car qui peut dire ce qu'il adviendra de ses rêves? personne ou personne à sa connaissance en tout cas. peut être arrivera-t-il a se decider un jour, mais peut être qu'il sera trop tard, ou trop tôt. une fois encore personne n'a la réponse à cette question qui n'est elle non plus pas sans conséquences, peut être de petites conséquence sans importance ou de plus grandes qui elles aussi feront basculer sa vie d'un coté ou d'un autres. mais la question la plus importante pour le moment est: qu'adviendra-t-il de ses rêves une fois sa décision prise? voila que maintenant sa décision est prise. arrive le temps du tourment, du pourquoi, du comment. il attend une fois encore se qui n'arrivera peut être pas. il l'espère et desespère à la fois. il le veut, il le hait, il le souhaite, il le maudit. il voudrai que tout soit facil pour une fois. que cette décision ne change rien ou change tout. mais il ne peut qu'y croire, qu'espérer quelque chose qui n'arrivera certainement jamais. il n'est pas perdu, il en a juste marre. marre que ses rêves restent des rêves. marre de voir que les gens changent et que lui reste le même. les mêmes peurs, les mêmes erreures, la même vie, les mêmes envis. maintenant il est persuader d'avoir fait ce qu'il ne falait pas et cela tout au long d'un certain temps. il ne regret pas mais reste persuadé qu'un jour quelque chose changera. il l'espère, il le hait, il le souhaite, il le maudit. tout ce qu'il veut ce soir, s'est être dans ses bras, peut être un dernière fois.

*-après mettre pas mal engueulé avec ma mère je t'ai demandé qu'on puisse voir et miraculeusement on a eu une date et un lieu très rapidement. mais la veille de ce voir je me suis réengueulé avec ma mère et j'étais pas sûr de pouvoir revenir, je t'ai prévenu en pensant que tu me connaissais assez bien pour savoir que je ferai tout ce que je pourai pour venir te voir, mais aparemment je me trompais. l'histoire du légume ne m'a pas véxer s'était un délir et puis voila... mais ça c'est pas passé. j'avais besoin que tu sois là à attendre comme d'habitude, même ne sachant pas si je viendrai, qu'au moins tu me laisses une chance.

j'ai déprimer pendant pas mal de temps mais je ne me suis jamais senti réellement seul sauf pendant cette période. ça allait vraiment pas chez moi je supportai personne, mes parents gueulaient pour un rien. j'étais seul, véritablement seul et le seul moyen de ressortir la tête était de te voir. mais quand je suis arrivé t'étais pas là, alors j'ai attendu, d'abord 5minutes, à ce moment là je savais déja que tu ne viendrais pas, mais j'ai continuer d'attendre. et puis la demi-heure est passée, j'avais plus qu'une idée en tête, te sérer dans mes bras et me mettre à chialer. mais, les larmes aux yeux j'ai continué d'attendre .jusqu'à ce que finalement, au bout de trois quarts d'heure, je finisse par t'appeler.

oui j'ai été con d'attendre autant de temps mais j'avais besoin de continuer à croire que tu viendrais. t'étais la dernière personne à qui je pouvais faire confience et qui me redonnerait le sourire. une fois chez toi j'ai essayé vainement et sans trop insisté de te faire comprendre que tu m'avais véxé, mais j'ai vite laissé tomber car gacher un de ces rares bon moment était la pire chose que je pouvait faire. j'en ai pas reparlé et a fait comme si tout allaient bien, ce qui est loin d'être le cas. c'est pas ta faute je le sais mais je suppose que je t'aime autant que je te hais, passant de l'un à l'autres en fonction de ce que je ressent. je pense que m'en exuser ne servira à rien mais je el fais quand même, je m'exuse pour tout le mal que je te fais et que j'ai pu te faire.

je pense que je te fais chier en réclamant de te voir et en ne "préchant que par toi", que je n'arriva pas à oublier ni à décrocher. je ne veux aps oublier parce que je suis censé faire quoi sans toi? c'est la question que je me pose depuis longtemps. si je ne t'ai plus je n'ai plus rien. depuis décembre dernier j'essais de changer de comportement, d'être moins chiant en voulant te voir moins souvant, de préter moins d'importance aux petits détailles que je pourai voir, j'ai aussi évité le plus possible de penser à toi et de réfléchir le sens possible de tout ce que tu faisais. mais je suppose que ça n'a pas changé grand chose peut être voir empiré les choses. je finirai par te dire une dernière fois qui sera certainement la dernière jusqu'à la prochaine dernière fois qui sera, je l'éspère, dans toutes les conditions possible autres que celle la. ces mots qui me rongent depuis maintenant 10ans: je t'aime. même si ça ne veut plus rien dire pour toi.*


-tu repenses à lui bloodymind... ?
-...
-tu sais très bien que c'est lui qui... attend!
-je l'ai senti aussi

il s'était levé, son arme en main, son Byakugan en charge, son regard dans la direction de l'aura qui approchait. Il le cherchait. il savait qu'il allait venir. il le sentait. il était proche. Ses cheveux bataient au vent, en 10ans il n'avait que très peu changé. Blasphème consolida ses appuits près à parer l'attaque de l'homme qui s'approchait. Baissant la tête il vit le sol se raprocher rapidement, une voix sifla dénière lui.

-à dieu petit frère.
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MessageSujet: Re: On choisit ses amis mais pas sa famille il parait... Pourtant on nuit plus facilement à ses proches...   On choisit ses amis mais pas sa famille il parait... Pourtant on nuit plus facilement à ses proches... Icon_minitimeVen 19 Nov - 22:03

Rukovanje releva les yeux vers la silhouette du bâtiment ancien qui se dessinait au loin, devant eux. Ses cheveux rouges volèrent dans ses yeux, mais cela n'altérait en rien sa vision. Une main se glissa dans sa sienne, et il serra tendrement ces doigts fins et tièdes. Ils savaient pourquoi ils étaient ici. Uns disparition, cela passait. Trois, bon, on accepte mais on se tâte. Mais passer le cap des six, là non, il y avait un gros problème, et Riza voulait s'assurer que ses élèves allaient bien, ce qu'il comprenait parfaitement... Elle se montrait tellement maternelle envers eux... Comme en écho à ses pensées, elle tourna la tête dans sa direction.

- Tu penses que tout redeviendra comme avant, un jour ?

Il secoua négativement la tête. Il l'aurait souhaité lui aussi, que tout cela ne soit jamais arrivé. Elle aurait eut deux ans et demi cette année...

- Non. Plus rien ne sera jamais comme avant.

La jeune femme ne répondit rien et se il se contenta de l'entrainer à sa suite. Cette histoire de disparition ne lui plaisait pas plus qu'à elle, surtout qu'il connaissait quelques élèves... Et leur niveau n'était pas spécialement médiocre. Qu'est ce qu'il se tramait là bas ? Rukovanje préférait le savoir. Bref, au final il accompagna la jeune femme puisqu'il était quelqu'un de gentil et de galant... Et que Riza l'aurait de toute manière traîner. Ah, il avait raté sa chance de se faire traîner... Quel dommage.

Le couple arriva en vue du temple, et autant dire que l'accueil ne fut absolument pas chaleureux. Enfin, si voir Blasphème avec un trou avoisinant les 30 centimètres de diamètre dans le ventre était chaleureux, alors ils étaient tombé en pleine samba... Rokuvanje fixa le corps encore debout, corps qui lui-même fixait un autre point que le roux ne pensa pas à regarder... Il sentit ses muscles se tendre, son esprit se mettre en pause, alors que sa main attrapait machinalement le poignet de la jeune femme qui voulut courir après de l'homme.

- Arrête.
- Il est blessé !!!
- Non... C'est trop tard.

Blasphème s'écroula au sol à la manière d'une marionnette désarticulée, montrant que ses os devaient en avoir prit un sérieux coup... Blasphème... Il... Etait... Mort... Ce sang sur le sol... C'était le sien... Il était... Bel et bien mort ? Aussi facilement ?

** Hé Rukovanje, reprend-toi ! **
** Ta gueule. **

Il était encore maître de ses émotions, pas besoin des leçons d'un truc hystérique. Il plaça machinalement la jeune femme derrière lui en lui ordonnant de ne pas s'écarter, et lui se tint sur ses gardes alors qu'une silhouette se dessinait devant lui. Des cheveux orangés, un visage fermé et glaciale. Ouais, donc ce type ne lui inspirait vraiment pas confiance.
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MessageSujet: Re: On choisit ses amis mais pas sa famille il parait... Pourtant on nuit plus facilement à ses proches...   On choisit ses amis mais pas sa famille il parait... Pourtant on nuit plus facilement à ses proches... Icon_minitimeVen 19 Nov - 22:20

L'énergie dégagé par son demi-frère était plus que noséabonde pour vael. Il pouvait la sentir à des kilomètres à la ronde, l'audeur pourie de son père. Cela faisait 10ans qu'il ne l'avait pas vue, et rien qu'à l'idée de le voir vivant le répugnait. Il allait faire ça vite. et il le fit vite.

-alors c'est déja fini...
-pour lui, oui.
-et ça te fais quoi d'avoir tuer le dernier de ta famille ?
-il n'était pas de ma famille.
-c'était ton demi-frère.
-rien à foutre, ça ne change rien pour moi.
-tu n'as pas changé en 10ans.
-l'aurai-je du ?
-je ne sais pas.
-et puis qu'est ce que t'en a à foutre de savoir ce que ça fait de tuer ? tu as passé ces 10 dernières années à le faire à tour de bras.
-je n'ai pas de famille à par toi et je pourais pas te tuer donc jamais je ne pourais savoir ce que ça fait.
-... ça fait... du bien de savoir que désormais nous n'existons plus.
-... tu es...blond.
-et alors ?
-il était brun...
-et alors ?
-rien.
-pfff

Il regarda la masse inerte de son frère et s'accorda un sourire. au loin ce qui ressemblait à un couple le regardait de haut. Vael vint très rapidement se placer devant eux.

-je ne vous veux aucun mal, il peut être le seul à mourir ici. ne cherchez pas à me suivre.

il se retourna et commença à avancer.
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MessageSujet: Re: On choisit ses amis mais pas sa famille il parait... Pourtant on nuit plus facilement à ses proches...   On choisit ses amis mais pas sa famille il parait... Pourtant on nuit plus facilement à ses proches... Icon_minitime

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