La nouvelle année

Aujourd'hui, comme chaque année, est le jour où l'école de Midgard accueil ses nouveaux élèves. Un bon nombre de futurs guerriers patientait devant les portes, impatients de découvrir l'endroit où ils allaient passer leur prochaines années. Nombreux semblaient miséreux, peu étaient sûr d'eux, et aucun ne semblait être vantard...mis à part Senetcher, posté sur un mur non loin du portail, observant les nouveaux arrivants.


**Et après ça ils veulent avoir de valeureux guerriers ? La plupart n'est même pas capable de tenir son arme correctement je suis sûr.**

Les portes s'ouvrirent et le flot de nouveaux élève s'engouffra dans ce qui allait être le théâtre de leur nouvelle vie. L'école ressemblait en tous points aux bâtiments de la villa : des bâtiments sans intérêt, aux murs lisses et gris, des portes abimées, et escaliers avec des marches en ruine...une école dans une ville pauvre. Les élèves arrivèrent au centre de l'école, une immense place où circulent les étudiants afin de se rendre dans leur chambre, en cours, ou tout simplement pour sortir de l'école. Plusieurs personnes arrivèrent et prirent la parole chacun leur tour.

-Soyez les bienvenus. Vous allez à partir de maintenant suivre une année d'apprentissage afin de maîtriser vos talents. Pour les meilleurs d'entre vous, vous aurez la chance d'avoir de courtes études, mais pour les plus mauvais, vous serez tout simplement exclus. Nous ne formons que de bons élèves, si vous ne parvenez pas à avoir de bons résultats, inutile de supplier vous vous retrouverez dans la rue. Ceci étant dit, je laisse la parole à mon collègue.

Un homme imposant prit la parole, il avait la voix rocailleuse et grave.

-Aujourd'hui, vous allez découvrir l'établissement; ses installations et ses professeurs. Vous serez ensuite répartis par groupe, ces groupes formeront vos "classes" et un emploi du temps vous sera donné. Vous avez quartier libre jusque 19h tous les jours, mais si après 19h vous n'êtes pas revenus, vous ne pourrez plus jamais revenir. Bien, les chambres sont organisées pour accueillir 3 personnes, vous avez carte blanche pour choisir vos compagnons de chambre. Sur ce, bonne visite.

Les élèves commencèrent alors la visite, plus anxieux qu'avant leur entrée. Senetcher s'était rapproché pour écouter le discours puis était partis vers sa chambre.

**On dirait que cette année se sont de vrais pleurnichards...j'espère qu'il y en a des robustes au moins.**

C'était le jour de la rentrée, Aoshi et beaucoup d'autre s'était inscrit cette année. Il y avait vraiment foule devant la grille de l'école et tout le monde s'amassaient la. Seul un élève sortait du lot, il était seul assis sur un mur et regardait le troupeau. Aoshi n'y fait pas plus attention que ça il préféra écouter le discours de ce qui semblait être le directeur. Le discours se terminait et les règles, strictes, avaient étaient clairement énoncées.

** Pompeux, mais franc. **

Aoshi regarda alors autour de lui; beaucoup se regardait l'air effrayé et déjà des commentaires circulaient.

** Des chambres de trois personnes? **

Aoshi s'en dire un mot s'écarta du reste du groupe; il n'était pas très joyeux à l'idée de partager son intimité avec deux autres personnes mais les règles sont les règle. Il décida d'abord de partir en direction des chambres pour voir à quoi elles pouvaient bien ressembler puis il ira manger un petit quelque chose à la cantine.

Une année de plus allait passer sous ce toit, une année comme les autres : merdique. Pourquoi les nouveaux étaient toujorus aussi pitoyable, même pas capable de protéger leur vie, toujours à compter sur les autres pour leur rendre la tâche plus simple, voir même la faire à leur place. Les élèves de l'autres villes avaient un peu plus de respect pour eu même, en tout cas tous ceux que Rukovanje avait tués. Un discourt toujours aussi merdique, pronant des valeures et des consignes dont personnes ne fera attention dans quelques jours. Enfin bon, encore une "rentrée forte en émotions". Se laissant tomber de son banc Rukovanje s'en alla vers la salle de conférence, autant commencer tout de suite.